Histoire de la guerre civile en France, et des malheurs qu'elle a occasionnés: depuis l'époque de la formation des États-Généraux, en 1789, jusqu'au 18 brumaire de l'an VIII (1799) ... Ouvrage qui contient des anecdotes sur les principaux personnages qui ont figuré dans la révolution, ainsi que sur les plus illustres victimes, et des particularités qui n'avoient jamais été publiées, Volume 2Lerouge, 1803 - France |
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Common terms and phrases
10 Août armés arrêté assassins assignats auroit avoient avoit bourreaux brigands cachot canon chambre Charette chefs Chouans ci-devant citoyens Cléry comité commissaires Commune Convention Nationale Cormatin Corps Législatif coups crime cris d'Orléans décret demanda départemens députés détenus devoient devoit égorgés enfans étoient étoit faisoit falloit famille femmes Force fusil garde nationale Gardes-du-Corps général Grappin guichet habitans heures hommes insurgés jours jugement l'Abbaye l'Assemblée Nationale l'échafaud Lafayette lettre Louis XVI madame Maillard main maire maison malheureux Marie-Antoinette massacres membres ment mille ministre monarque Montmorin mort Municipalité n'avoient n'avoit Nantes nommé officiers pables passer patriotes personnes Pétion peuple porte pouvoient pouvoit président prêtres prison prisonniers prisons de l'Abbaye régiment de Flandre Reine Représentans républicains République reste Révolution s'étoit sabre Saint-Méard sang Septembre seroient seroit seul soldats Sombreuil sort Suisses Temple tête tion tour du Temple tout-à-coup toyens tribunal troupes Vendée venoient venoit Versailles victimes voiture vouloient vouloit
Popular passages
Page 150 - et l'expression de ma sensibilité , » pour tous les soins et les peines qu'ils se » sont donnés pour moi. Je finis en déclarant » devant Dieu, et prêt à paroître devant lui, » que je ne me reproche aucun des
Page 164 - si perverse et si familière avec » tous les crimes, qu'oubliant sa qualité de » mère et la démarcation prescrite par les » lois de la nature, elle n'a pas craint de se » livrer, avec Louis-Charles Capet, son fils, » et de l'aveu de ce dernier, à des indécences
Page 394 - cette lettre au public. Adieu ; je vous le fais # avec le calme que donne seule la pureté de » la conscience , l'estime de tous les braves » gens qui aujourd'hui partagent mon sort, et » le préfèrent à la fuite du lâche, qui, n'osant » combattre parmi nous, auroit au moins dû » me prévenir : cette estime est pour moi
Page 182 - patrie sur terre , sur mer , dans la carrière » diplomatique , en un mot, dans tous les » postes qui n'exigeront que du zèle et un » dévouement sans bornes au bien public ; » mais s'il est question de régence
Page 143 - je ne serai perdu de vue ni jour » ni nuit. On doit sentir que, dans la position » où je me trouve, il est pénible de ne pouvoir » être seul et avoir la tranquillité nécessaire » pour se recueillir, et que la nuit on a besoin
Page 122 - Eh ! qu'est-il besoin de discuter quand tout » le monde est d'accord? Les rois sont dans » l'ordre moral ce que les monstres sont dans
Page 150 - jouissent dans leur cœur de la tranquillité » que doit leur donner leur facon de penser. » Je prie MM. Malesherbes , Tronchet et » Desèz'e, de recevoir ici tous mes
Page 231 - féroces détenus dans les prisons , » a été mise à mort par le peuple , actes de
Page 246 - soldat du 10 Août, il n'est que fils de Suisse, » et il s'est rendu lui-même en prison, parce » qu'on l'avoit assuré que tout ce qui est » suisse seroit égorgé. » Pendant cette minute de suspension d'égor.gement, le jeune homme tire rapidement de sa poche des certificats , les
Page 409 - mourir des suites du traitement qu'elles avoient éprouvé dans les cachots, j'ai erré sur les terres étrangères, où le seul ami que j'eusse conservé, s'est poignardé dans mes bras,