Discours politiques et écrits divers, Volumes 1-2 |
Contents
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Common terms and phrases
24 février actes appel Applaudissements approbation à gauche Assemblée aujourd'hui aurait avez Bravo Chambre charte charte de 1814 chose citoyens cœur commission conscience constitution constitution de 1791 déclare décret demande démocratie DÉPUTÉS devant dire disait DISCOURS PRONONCÉ discussion Est-ce état de siège février Fichte force française garde nationale général général Changarnier Gouvernement provisoire guerre Guizot hommes humaine intérêts Interruption j'ai jamais jour jury justice l'Angleterre l'Assemblée nationale l'Autriche l'état de siège l'homme l'honorable l'Italie laisser Ledru-Rollin législation liberté lois Louis Bonaparte majorité ment messieurs millions ministre monarchie nation Odilon Barrot Oudinot parler paroles passé pays pensée permettez-moi peuple police politique pouvez pouvoir président principes proclamé PRONONCÉ A L'ASSEMBLÉE puissance qu'un question raison réforme répète répond républicains République république romaine respecter reste réunions électorales révolution romaine Rome s'est Sainte-Alliance sentiment serait seul social souveraineté suffrage universel Thiers tion tribune veux violée Voilà voix vote voulez vrai
Popular passages
Page 486 - La personne du Roi est inviolable et sacrée. Ses ministres sont responsables. Au Roi seul appartient la puissance executive. Art. 13. Le Roi est le chef suprême de l'État; il commande les forces de terre et de mer, déclare la guerre, fait les traités de paix, d'alliance et de commerce...
Page 91 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 253 - Le maintien du bon ordre dans les endroits où il se fait de grands rassemblements d'hommes, tels que les foires, marchés, réjouissances et cérémonies publiques, spectacles, jeux, cafés, églises et autres lieux publics ; 4°...
Page 497 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 420 - Je dis donc que la souveraineté n'étant que l'exercice de la volonté générale ne peut jamais s'aliéner, et que le souverain, qui n'est qu'un être collectif, ne peut être représenté que par lui-même ; le pouvoir peut bien se transmettre, mais non pas la volonté.
Page 486 - Roi est le chef suprême de l'État ; il commande les forces 'de terre et de mer, déclare la guerre, fait les traités de paix, d'alliance et de commerce, nomme à tous les emplois d'administration publique, et fait les règlements et ordonnances nécessaires pour l'exécution des lois, sans pouvoir jamais ni suspendre les lois elles-mêmes ni dispenser de leur exécution.
Page 420 - Les Députés du peuple ne sont donc, ni ne peuvent être, ses représentants; ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement.
Page 224 - ... indépendants de l'Italie étaient envahis; si l'on imposait des limites ou des obstacles à leurs transformations intérieures; si on leur contestait à main armée le droit de s'allier entre eux pour consolider une patrie italienne, la république française se croirait en droit d'armer elle-même pour protéger ces mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peuples.
Page 9 - Ils sont illimités. Agent d'une autorité révolutionnaire, vous êtes révolutionnaires aussi. La victoire du peuple vous a imposé le mandat de faire proclamer, de consolider son œuvre. Pour l'accomplissement de cette tâche, vous êtes investi de sa souveraineté, vous ne relevez que de votre conscience, vous devez faire ce que les circonstances exigent pour le salut public.
Page 2 - ... dans mon cœur et dans ma raison. Dans mon cœur qui me dit, à la vue de tant de misères dont sont assaillies les classes pauvres, que Dieu n'a pas pu vouloir les condamner à des douleurs éternelles, à un ilotisme sans fin. Dans ma raison qui répugne à l'idée qu'une société puisse imposer au citoyen des obligations, des devoirs, sans lui départir, en revanche, une portion quelconque de souveraineté.