Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits-Augustins, Issues 118-134De l'imprimerie de P. de Lormel, 1791 - France |
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... mois après votre promeffe , c'est- à - dire , le 5 octobre , loin de tenir élevé cet étendart de la liberté , avouez que vous le traînâtes dans la boue , & qu'il y feroit refté , fi le peuple & les foldats ne vous euffent prié , comme ...
... mois après votre promeffe , c'est- à - dire , le 5 octobre , loin de tenir élevé cet étendart de la liberté , avouez que vous le traînâtes dans la boue , & qu'il y feroit refté , fi le peuple & les foldats ne vous euffent prié , comme ...
Page 54
... mois » de révolution , vous n'avez calculé les dangers que pour » multiplier votre vigilance , & leur importance qu'an- » tant qu'ils pouvoient compromettre ou fervir la li » berté » . On n'adreffe pas le plus petit mot de félicitation ...
... mois » de révolution , vous n'avez calculé les dangers que pour » multiplier votre vigilance , & leur importance qu'an- » tant qu'ils pouvoient compromettre ou fervir la li » berté » . On n'adreffe pas le plus petit mot de félicitation ...
Page 56
... mois par impui- fance , mais qui va reprendre de plus belle , auffi - tôt l'en- tier réveil des fonctions royales , les adminiftrateurs de départemens , les officiers municipaux , & l'état - major dés gardes nationaux , n'ont - ils pas ...
... mois par impui- fance , mais qui va reprendre de plus belle , auffi - tôt l'en- tier réveil des fonctions royales , les adminiftrateurs de départemens , les officiers municipaux , & l'état - major dés gardes nationaux , n'ont - ils pas ...
Page 59
... mois ; on lui a obéi pendant 27 mois , tout eft dit . Si chacun a fait fon devoir , on ne fe doit plus rien , chacun est quitte , excepté envers la patrie avec laquelle on ne s'ac- quitte jamais . « Recevez les vœux de l'ami le plus ...
... mois ; on lui a obéi pendant 27 mois , tout eft dit . Si chacun a fait fon devoir , on ne fe doit plus rien , chacun est quitte , excepté envers la patrie avec laquelle on ne s'ac- quitte jamais . « Recevez les vœux de l'ami le plus ...
Page 86
... mois ou fix femaines des glanes qu'ils ont faites ! Combien de moif- fonneurs qui vivent pareillement pendant un mois ou fix femaines des grains avec lefquels on leur a payé une partie de leurs moiffons ! combien de petits propriétaires ...
... mois ou fix femaines des glanes qu'ils ont faites ! Combien de moif- fonneurs qui vivent pareillement pendant un mois ou fix femaines des grains avec lefquels on leur a payé une partie de leurs moiffons ! combien de petits propriétaires ...
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Common terms and phrases
accufés adminiftrateur adreffe affez affignats ainfi auffi avoient avoit befoin Briffot c'eft c'eſt caufe ceffe chofe ci-devant citoyens Coblentz commiffaires confeil confidération confpirateurs conftitution convention nationale déclaration décret demande départemens députés difcours difcuffion difpofitions diftrict directoire directoire du département Dumouriez émigrans émigrés ennemis eſt étoient étoit faction falut fans doute Fayette fe font féance feconde fecours femblée fent fera feront fervir feul fieur figné fociété foit foldats fommes fous fuivant fujets fur-tout furveillance garde nationale Guadet guerre homme de loi idem jufqu'à juftice L'accufateur l'affemblée nationale l'efprit l'ordre du jour laiffer législatif lettre liberté loix Louis XVI maifon maire mefures membres ment miniftre municipalité n'eft n'étoit Narbonne nation néceffaire officiers patrie patriotes perfonne Pétion pétition peuple plufieurs pouvoir exécutif préfent préfident prêtres princes projet propofé propofition public puiffances raffemblement refpect refte Renvoyé au comité repréfentans révolution s'eft Saint-Domingue tion toyens tribunal Vergniaud veto
Popular passages
Page 58 - Français ne se croyaient pas solidaires pour le maintien de leur liberté civile, comme de leur liberté politique , et pour la religieuse exécution de la loi , et s'il n'y avait pas dans la voix du magistrat qui parle en son nom , une force toujours supérieure à celle des millions de bras armés pour la défendre.
Page 53 - ... je demande encore la guerre; je la demande, non comme un acte de sagesse, non comme une résolution raisonnable, mais comme la ressource du désespoir ; je la demande à une autre condition, qui, sans doute. est convenue entre nous ; car je ne pense pas que les avocats de la guerre aient voulu nous tromper ; je la demande telle qu'ils nous la dépeignent; je la demande telle que le génie de la liberté la déclarerait, telle que le peuple français la ferait lui-même, et non telle que de vils...
Page 450 - Princes voifîns de leur prêter un appui propre à flatter leurs efpérances „ & à les enhardir dans leurs téméraires projets. » L'Empereur a rempli ce qu'on...
Page 602 - ... pour celle-ci que je me déclare. Ferons-nous la guerre, ou ferons-nous la paix? Attaquerons-nous nos ennemis, ou les attendrons-nous dans nos foyers? Je crois que cet énoncé ne présente pas la question sous tous ses rapports et dans toute son étendue. Quel parti la nation et ses représentants doivent-ils prendre , dans les circonstances où nous sommes, à l'égard de nos ennemis intérieurs et extérieurs?
Page 13 - Syrènes qui nous attirent vers les écueils du despotisme ; que nous ne continuerons pas de courir, comme un troupeau stupide, dans la route par laquelle on cherche à nous conduire à l'esclavage ou à la mort. J'ai dévoilé une partie des projets de nos ennemis ; car je ne doute pas qu'ils ne recèlent encore des profondeurs que nous ne pouvons sonder ; j'ai indiqué nos véritables dangers et la véritable cause de nos maux ; c'est dans la nature de cette cause qu'il faut puiser le remède,...
Page 97 - Paroifle qui leur efl confiée , » d'être fidèles à la Nation , à la Loi & au Roi , & » de maintenir de tout leur pouvoir la Conflitution » décrétée par l'Aflemblée Nationale & acceptée par
Page 255 - La révolution est finie, la constitution est achevée. La France la veut, je la maintiendrai; c'est de son affermissement que dépend aujourd'hui le salut de la monarchie. La constitution vous a donné des droits, elle ya mis une condition que vous devez vous hâter de remplir. Croyez-moi, mon frère, repoussez les doutes qu'on voudrait vous donner sur ma liberté. Je vais prouver, par un acte bien solennel, et dans une circonstance qui vous intéresse, que je puis agir librement.
Page 480 - ... janvier 1791, aux acquéreurs des domaines nationaux, pour jouir des facultés accordées pour leur...
Page 212 - L'Assemblée nationale vous requiert, en vertu de la Constitution française, titre III, chapitre 2, section ni, article 2, de rentrer dans le royaume dans le délai de deux mois, à compter de ce jour, faute de quoi et après l'expiration dudit délai, vous perdrez votre droit éventuel à la régence.