Révolutions de Paris: dédiées à la nation et au district des Petits-Augustins, Issues 118-134De l'imprimerie de P. de Lormel, 1791 - France |
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Common terms and phrases
adminiftrateur ainfi amis armée auffi avant avoit avons c'eft chargé chefs chofe citoyens colonies comité commune compte conduite conftitution convention corps cour d'autres d'être déclaration décret demande départemens département députés dernier dire directoire doit donner doute émigrés enfin ennemis état étoient étoit étrangères exécutif fans fera feront fervir feul fieur foit foldats fommes font force forte fous frères fuite garde nationale général gens guerre hommes j'ai jour juge l'affemblée nationale l'état l'ordre législatif lettre liberté libre lieu livres loix Louis XVI mains maire membres ment mettre militaire mille millions miniftre mois moyens municipalité n'eft n'en nation nombre nommé nouvelle officiers paffer parler patrie patriotes payer perfonne peuple place plufieurs porter pouvoir préfent préfident premier prêtres princes projet propofé public publique qu'à qu'un rappelle rapport rendre Renvoyé révolution rien s'eft s'il tion traité tribunal troupes trouve vérité veto veut voilà vrai
Popular passages
Page 58 - Français ne se croyaient pas solidaires pour le maintien de leur liberté civile, comme de leur liberté politique , et pour la religieuse exécution de la loi , et s'il n'y avait pas dans la voix du magistrat qui parle en son nom , une force toujours supérieure à celle des millions de bras armés pour la défendre.
Page 53 - ... je demande encore la guerre; je la demande, non comme un acte de sagesse, non comme une résolution raisonnable, mais comme la ressource du désespoir ; je la demande à une autre condition, qui, sans doute. est convenue entre nous ; car je ne pense pas que les avocats de la guerre aient voulu nous tromper ; je la demande telle qu'ils nous la dépeignent; je la demande telle que le génie de la liberté la déclarerait, telle que le peuple français la ferait lui-même, et non telle que de vils...
Page 450 - Princes voifîns de leur prêter un appui propre à flatter leurs efpérances „ & à les enhardir dans leurs téméraires projets. » L'Empereur a rempli ce qu'on...
Page 602 - ... pour celle-ci que je me déclare. Ferons-nous la guerre, ou ferons-nous la paix? Attaquerons-nous nos ennemis, ou les attendrons-nous dans nos foyers? Je crois que cet énoncé ne présente pas la question sous tous ses rapports et dans toute son étendue. Quel parti la nation et ses représentants doivent-ils prendre , dans les circonstances où nous sommes, à l'égard de nos ennemis intérieurs et extérieurs?
Page 13 - Syrènes qui nous attirent vers les écueils du despotisme ; que nous ne continuerons pas de courir, comme un troupeau stupide, dans la route par laquelle on cherche à nous conduire à l'esclavage ou à la mort. J'ai dévoilé une partie des projets de nos ennemis ; car je ne doute pas qu'ils ne recèlent encore des profondeurs que nous ne pouvons sonder ; j'ai indiqué nos véritables dangers et la véritable cause de nos maux ; c'est dans la nature de cette cause qu'il faut puiser le remède,...
Page 97 - Paroifle qui leur efl confiée , » d'être fidèles à la Nation , à la Loi & au Roi , & » de maintenir de tout leur pouvoir la Conflitution » décrétée par l'Aflemblée Nationale & acceptée par
Page 255 - La révolution est finie, la constitution est achevée. La France la veut, je la maintiendrai; c'est de son affermissement que dépend aujourd'hui le salut de la monarchie. La constitution vous a donné des droits, elle ya mis une condition que vous devez vous hâter de remplir. Croyez-moi, mon frère, repoussez les doutes qu'on voudrait vous donner sur ma liberté. Je vais prouver, par un acte bien solennel, et dans une circonstance qui vous intéresse, que je puis agir librement.
Page 480 - ... janvier 1791, aux acquéreurs des domaines nationaux, pour jouir des facultés accordées pour leur...
Page 212 - L'Assemblée nationale vous requiert, en vertu de la Constitution française, titre III, chapitre 2, section ni, article 2, de rentrer dans le royaume dans le délai de deux mois, à compter de ce jour, faute de quoi et après l'expiration dudit délai, vous perdrez votre droit éventuel à la régence.