Histoire du droit des gens et des relations internationales: La révolution française, 1. ptieL. Hebbelynck, 1867 - Church and state |
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... moyen de rem- plir un devoir . Persuadés que leur liberté serait dérisoire , tant qu'elle ne serait pas assurée par des institutions politiques , ils réclamèrent des garanties . La royauté et l'Église leur opposèrent une résistance ...
... moyen de rem- plir un devoir . Persuadés que leur liberté serait dérisoire , tant qu'elle ne serait pas assurée par des institutions politiques , ils réclamèrent des garanties . La royauté et l'Église leur opposèrent une résistance ...
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... moyen plu- tôt qu'un but . Une fois le but atteint , on oublia naturellement le moyen . Voilà pourquoi les passions antireligieuses se sont alan- guies , et la haine de la religion a fait place à une réaction reli- gieuse . L ...
... moyen plu- tôt qu'un but . Une fois le but atteint , on oublia naturellement le moyen . Voilà pourquoi les passions antireligieuses se sont alan- guies , et la haine de la religion a fait place à une réaction reli- gieuse . L ...
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... moyen de prévenir la tyrannie , car la tyrannie est en essence la violation des droits des hommes ( 1 ) . Aussi demandait - il que les assemblées appelées à faire une cons- titution votassent avant tout une déclaration des droits ; et ...
... moyen de prévenir la tyrannie , car la tyrannie est en essence la violation des droits des hommes ( 1 ) . Aussi demandait - il que les assemblées appelées à faire une cons- titution votassent avant tout une déclaration des droits ; et ...
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... moyens pour y parvenir ne sont pas indifférents . It importe également à tous les ordres que ces moyens s'accordent avec les principes des franchises et libertés communes . voter par tête , qui insensiblement produirait la confusion des ...
... moyens pour y parvenir ne sont pas indifférents . It importe également à tous les ordres que ces moyens s'accordent avec les principes des franchises et libertés communes . voter par tête , qui insensiblement produirait la confusion des ...
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... moyen âge était une liberté aristo- cratique ; les barons féodaux seuls étaient libres . Il fallait que la liberté devint la condition générale des hommes , que tous les citoyens fussent libres et égaux en droits , non comme membres d ...
... moyen âge était une liberté aristo- cratique ; les barons féodaux seuls étaient libres . Il fallait que la liberté devint la condition générale des hommes , que tous les citoyens fussent libres et égaux en droits , non comme membres d ...
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Common terms and phrases
abbé absolue anglaise Augustin Thierry Benjamin Constant Bossuet Buchez et Roux c'était catholicisme catholiques César chap chose chrétienne Christ christianisme citoyens clergé Condorcet conscience constitution Contrat social crime D'Holbach démocratie despotisme Dieu dire disciples dit-il divin dix-huitième siècle doctrine Écoutons écrivains ennemis esclaves Est-ce états généraux évêques féodalité garantie gouvernement guerre Histoire parlementaire humaine ibid idées Idem individuelle Jésus-Christ l'ancien régime l'aristocratie l'Assemblée nationale l'égalité l'Église l'empire l'esprit l'Esprit des lois l'État l'Évangile l'histoire l'homme l'humanité l'individu législateur légitime libres penseurs lois Louis XIV Mably Madame de Stael ment Mirabeau monarchie monde Montesquieu nation nobles noblesse OEuvres pape paroles Pères de l'Église philosophes politique pouvoir prêche princes propriété protestantisme puissance Qu'est-ce raison réforme règne religieuse religion républicains république Révolution française révolutionnaire Robespierre rois Romains Rome Rousseau royauté saint salut public sentiments serait servitude seul société souverain souveraineté du peuple tiers état tion tyrannie vérité Voilà Voltaire vraie liberté
Popular passages
Page 36 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté, ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 36 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 92 - Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen (2) DÉCLARATION DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN Le peuple Français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but...
Page 36 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 496 - Les peuples d'Europe ayant exterminé ceux de l'Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l'Afrique, pour s'en servir à défricher tant de terres. Le sucre serait trop cher, si l'on ne faisait travailler la plante qui le produit par des esclaves.
Page 36 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 35 - Droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme; afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...
Page 508 - Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux... Levons-nous !... » Le troisième journaliste, un médecin de quarante ans, né dans la Suisse française, à Neufchâtel, était MARAT.
Page 177 - Par toutes les recherches que j'ai pu faire, depuis plusieurs années que je m'y applique, j'ai fort bien remarqué que dans ces derniers temps, près de la dixième partie du peuple est réduite à la mendicité, et mendie effectivement ; que des neuf autres parties, il y en a cinq qui ne sont pas en état...
Page 36 - Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.