Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1918 |
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ALFRED DE MUSSET Allemands Alliés âme américain Anglais armée assez attaque avaient bataille beau belge Belgique Berlin Böcking bois bombardement Bouchavesnes britannique Buloz c'était canon Cécilius chant chose cœur Coréens côté coup Curel d'autres députés Destieux devant dire division Douglas Haig DRAME enfin ennemis États-Unis femmes février flamand Flandre force française FRANÇOIS BULOZ frère FRITZ front gauche Geislautern gens George Sand gouvernement guerre Guillemont heures hommes j'ai jamais Japon jour journal jusqu'à kilomètres l'Allemagne l'ambassadeur l'armée l'Empereur l'ennemi L'IDYLLE laisser Lauturières lettre ligne main ment mètres Mgr Raess MICHEL monde mort Mort-Homme Morval Musset n'avait Nailly Nord nuit obus paix passé pays pensée petite peuple peut-être politique porte Pozières première protestation Prusse prussien qu'un raison Reichstag reste Revue rien Russie s'est s'était Saint-Pierre-Vaast Sarrebrück semble sentiment serait Serbie seulement siècle Sigus soir soldats sommes sorte Soyécourt Tchèques terre Teutsch tion tranchées troupes trouve Verdun visage yeux Zeebrugge
Popular passages
Page 240 - Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et, pour cela, faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.
Page 221 - Nous sommes persuadés que les grands écrivains ont mis leur histoire dans leurs ouvrages. On ne peint bien que son propre cœur , en l'attribuant à un autre ; et la meilleure partie du génie se compose de souvenirs.
Page 279 - J'ai vu le temps où ma jeunesse Sur mes lèvres était sans cesse Prête à chanter comme un oiseau ; Mais j'ai souffert un dur martyre, Et le moins que j'en pourrais dire, Si je l'essayais sur ma lyre, La briserait comme un roseau.
Page 366 - Une théorie physique n'est pas une explication. C'est un système de propositions mathématiques, déduites d'un petit nombre de principes, qui ont pour but de représenter aussi simplement, aussi complètement et aussi exactement que possible, un ensemble de lois expérimentales...
Page 564 - Point de superstitions, point de légendes absurdes, point de ces dogmes qui insultent à la raison et à la nature, et auxquels des bonzes donnent mille sens différents parce qu'ils n'en ont aucun.
Page 236 - République française, que j'appuierai, par tous les moyens et en usant de toute mon influence personnelle, auprès de mes alliés, les justes revendications françaises, relatives à l'Alsace-Lorraine.
Page 225 - Vers le 13 de janvier, j'ouvris le cours de mes dépêches avec le ministre des affaires étrangères. Mon esprit se plie facilement à ce genre de travail : pourquoi pas ? Dante , Arioste et Milton n'ont-ils pas aussi bien réussi en politique qu'en poésie ? Je ne suis sans doute ni Dante, ni Arioste, ni Milton ; l'Europe et la France ont vu néanmoins par le Congrès de Vérone ce que je pourrais faire.
Page 225 - Qu'il fasse son métier : qu'il nous enchante. Il rompt trop souvent les cercles tracés par sa magie ; il y laisse entrer des voix qui n'ont rien de surhumain, et qui ne sont bonnes qu'à rompre le charme et à mettre en fuite les prestiges. Ses in-folio me font trembler.
Page 236 - Qui donc aurait cru qu'il fût besoin de M. le comte Revertera pour élucider dans l'esprit du comte Czernin une question sur laquelle l'Empereur d'Autriche avait lui-même prononcé le dernier mot? Car c'est bien l'Empereur Charles qui dans une lettre du mois de mars 1917 a, de sa main, consigné son adhésion aux « justes revendications françaises relatives à l'Alsace-Lorraine ». Une seconde lettre impériale constate que l'Empereur était « d'accord avec son ministre ». Il ne restait à...
Page 292 - J'ai même fait quelques strophes là-dessus. Mais une idée de ce genre ne peut avoir aucun prix par elle-même, aucun — parce qu'elle exprime un regret inutile. Ce n'est bon qu'à garder pour soi. Quant à l'amplifier et...