Revue de Bretagne et de Vendée1867 |
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2e SÉRIE Alfred Nettement âme Ary Scheffer assez aujourd'hui avaient beau belle Blaineau Blücher Brault Bretagne Bretons c'était Capucins catholique cause chant cher chose chrétien cœur comte Cornouaille Delbon demande dernier devant Dieu diocèse dire donner église enfants eût évêque famille Félix femme fille fils frère Fromentière gens Grallon Graslin Grégoire Grégoire de Tours Guennolé Hennebont Henri Herbauges homme Huërou j'ai jamais Jean Jean Brault jeune jour Kernadec l'abbé l'Église l'évêque laisser Landev Lannion Léon lettre Leudaste livres Louis Luçon Madeleine main maison Marie ment Messieurs Mettray Mme Swetchine mois monde Monsieur Morice mort n'avait n'était Nantes œuvres parler paroisse passer pauvre pensée père pied Pierre Pin-en-Mauges poésie poète Pontcallec porte premier prêtres prince qu'un Quimperlé religieux René reste RICTIOVARUS rien saint Saint-Brieuc Saint-Lunaire Saint-Malo Sainte-Beuve seigneur sentiment seul siècle sœur soir sorte terrain terre trouve Vertou Vincent de Paul voilà voix yeux
Popular passages
Page 346 - ... pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience, II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 340 - Dieu! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions; sans toi je ne sens rien en moi qui m'élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m'égarer d'erreurs en erreurs à l'aide d'un entendement sans règle et d'une raison sans principe.
Page 303 - Horace, parle-lui de moi ; tu lui diras ce qu'il ne peut point entendre, que je l'aurais bien aimé ; malgré mon supplice, je crois qu'il ya un Dieu ; mon sang effacera mes fautes, les faiblesses de l'humanité, et ce que j'ai eu de bon, mes vertus, mon amour de la liberté, Dieu le récompensera. Je te reverrai un jour...
Page 68 - Toute l'Écriture est pleine de poésie, dans les endroits même où l'on ne trouve aucune trace de versification.
Page 67 - La poésie est plus sérieuse et plus utile que le vulgaire ne le croit. La religion a consacré la poésie à son usage, dès l'origine du genre humain. Avant que les hommes eussent un texte d'écriture divine, les sacrés cantiques, qu'ils savaient par cœur, conservaient la mémoire de l'origine du monde, et la tradition des merveilles de Dieu.
Page 452 - Place au rayonnement de l'âme universelle! Un roi c'est de la guerre, un dieu c'est de la nuit. Liberté, vie et foi, sur le dogme détruit ! Partout une lumière et partout un génie! Amour! tout s'entendra, tout étant l'harmonie! L'azur du ciel sera l'apaisement des loups. Place à Tout ! Je suis Pan ; Jupiter ! à genoux.
Page 319 - Un homme incomparable, si grand que, bien qu'ici tout doive être jugé au point de vue de la science positive , je ne voudrais pas contredire ceux qui, frappés du caractère exceptionnel de son œuvre, l'appellent Dieu, opéra une réforme du judaïsme, réforme si profonde, si individuelle, que ce fut à vrai dire une création de toutes pièces.
Page 70 - Nous sommes persuadés que les grands écrivains ont mis leur histoire dans leurs ouvrages. On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre; et la meilleure partie du génie se compose de souvenirs.
Page 489 - Sainte Église romaine, mère des Églises et mère de tous les fidèles , Église choisie de Dieu pour unir ses enfants dans la même foi et dans la même charité , nous tiendrons toujours à ton unité par le fond de nos entrailles.
Page 346 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.