Les doctrines des Congrès ouvriers de France: Paris--Lyon--Marseille |
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25 octobre Abolition apprentis associations auront auxdits besoin bourgeoisie calfatage capitaines ou patrons capital catholique chambres syndicales chefs d'ouvrage choses chrétienne citoyens civile classes collectivisme comité commission Congrès de Lyon Congrès de Marseille congrès ouvrier socialiste conseils de prud'hommes consommation contrat contrats d'apprentissage corporations corps élus d'apprentissage d'association délégués démocratie devra Dieu divine Document doit économique électeurs enfants fédération femme forces ouvrières fraternité gouvernement groupe adhérent hommes humaine justice Karl Marx l'autorité l'égalité l'Église l'enfant l'État l'homme l'impôt l'instruction l'ouvrier Léon GAMBETTA lesdits libéralisme liberté libre échange livres d'amende lois maîtres calfats Majesté Marx ment morale moyen nation nécessaire octobre orateurs organisation pareille père peuple politique Pontife romain presse ouvrière principe produits Programme de Belleville prolétaires prolétariat propriétaires propriété protestantisme Proudhon qu'une quatrième état raison religion rente représentants Révolution salaire salariat science séance sera seule société tion travail travail des enfants travailleurs tribune troisième Congrès ouvrier Voilà
Popular passages
Page 158 - La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 159 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 158 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 157 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 157 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.
Page 157 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 159 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 159 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page 158 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions , même religieuses , pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 158 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.