Oeuvres complètes de J.J. Rousseau, Volume 6Dalibon, 1824 |
From inside the book
Results 1-5 of 26
Page xxi
... sent « bien que par la diéte européenne le gouvernement « de chaque état n'est pas moins fixé que par ses limites ; qu'on ne peut garantir les princes de la révolte des sujets , sans garantir en même temps les sujets de la tyrannie des ...
... sent « bien que par la diéte européenne le gouvernement « de chaque état n'est pas moins fixé que par ses limites ; qu'on ne peut garantir les princes de la révolte des sujets , sans garantir en même temps les sujets de la tyrannie des ...
Page 40
... avons à considérer les personnes privées qui la compo- sent , et dont la vie et la liberté sont naturellement indépendantes d'elle . Il s'agit donc de bien distin- guer les droits respectifs des citoyens ' et du sou- 40 DU CONTRAT SOCIAL .
... avons à considérer les personnes privées qui la compo- sent , et dont la vie et la liberté sont naturellement indépendantes d'elle . Il s'agit donc de bien distin- guer les droits respectifs des citoyens ' et du sou- 40 DU CONTRAT SOCIAL .
Page 59
... sent docilement le joug de la félicité publique . Cette raison sublime , qui s'élève au - dessus de la portée des hommes vulgaires , est celle dont le législateur met les décisions dans la bouche des immortels , pour entraîner par l ...
... sent docilement le joug de la félicité publique . Cette raison sublime , qui s'élève au - dessus de la portée des hommes vulgaires , est celle dont le législateur met les décisions dans la bouche des immortels , pour entraîner par l ...
Page 80
... sent celui du tout au tout ou du souverain à l'état . On peut représenter ce dernier rapport par celui des extrêmes d'une proportion continue , dont la moyenne proportionnelle est le gouvernement . Le gouvernement reçoit du souverain ...
... sent celui du tout au tout ou du souverain à l'état . On peut représenter ce dernier rapport par celui des extrêmes d'une proportion continue , dont la moyenne proportionnelle est le gouvernement . Le gouvernement reçoit du souverain ...
Page 112
... sent la vérité ; plus on le conteste , plus on donne occasion de l'établir par de nou- velles preuves . Dans tous les gouvernements du monde la per- sonne publique consomme et ne produit rien . D'où lui vient donc la substance consommée ...
... sent la vérité ; plus on le conteste , plus on donne occasion de l'établir par de nou- velles preuves . Dans tous les gouvernements du monde la per- sonne publique consomme et ne produit rien . D'où lui vient donc la substance consommée ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
abus acte affaires ames assemblées avantages avoient avoit besoin bler blique CHAPITRE chefs choses citoyens civil comices confédération conserver constitution CONTRAT SOCIAL corps politique Corse déja diéte diétines dire doit donner élections éphores établir état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement Grotius guerre Henri IV hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'autre l'état l'Europe l'ordre équestre laisser lative législation liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome Rousseau s'il sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte Starosties suffrages sujets sur-tout système tion toyens tribunat tribus volonté générale voudrois
Popular passages
Page 20 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 203 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Page 32 - Sous les mauvais gouvernements, cette égalité n'est qu'apparente et illusoire; elle ne sert qu'à maintenir le pauvre dans sa misère, et le riche dans son usurpation. Dans le fait, les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent, et nuisibles à ceux qui n'ont rien : d'où il suit que l'état social n'est avantageux aux hommes qu'autant qu'ils ont tous quelque chose , et qu'aucun d'eux n'a rien de trop.
Page 155 - Quand on propose une loi dans l'assemblée du peuple, ce qu'on leur demande n'est pas précisément s'ils approuvent la proposition ou s'ils la rejettent, mais si elle est conforme ou non à la volonté générale qui est la leur : chacun en donnant son suffrage dit son avis là-dessus, et du calcul des voix se tire la déclaration de la volonté générale. Quand donc l'avis contraire au mien l'emporte, cela ne prouve autre chose sinon que je m'étais trompé, et que ce que j'estimais être la volonté...
Page 56 - Il faut, en un mot, qu'il ôte à l'homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères, et dont il ne puisse faire usage sans le secours d'autrui. Plus...
Page 25 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Page 54 - Pour découvrir les meilleures règles de société qui conviennent aux nations, il faudrait une intelligence supérieure qui vît toutes les passions des hommes et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond...
Page 79 - ... parce que cette puissance ne consiste qu'en des actes particuliers qui ne sont point du ressort de la loi , ni par conséquent de celui du souverain , dont tous les actes ne peuvent être que des lois.
Page 22 - Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de Cité, et prend maintenant celui de République ou de Corps politique, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables.
Page 52 - Sur cette idée, on voit à l'instant qu'il ne faut plus demander à qui il appartient de faire des lois, puisqu'elles sont des actes de la volonté générale; ni si le prince est au-dessus des lois, puisqu'il est membre de...