Oeuvres complètes de J.J. Rousseau, Volume 6Dalibon, 1824 |
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... proposer . Celui - ci est le mécani- cien qui invente la machine , celui - là n'est que l'ouvrier qui la monte et la fait marcher . Dans la naissance des sociétés , dit Montesquieu , ce sont les chefs des républiques qui font l ...
... proposer . Celui - ci est le mécani- cien qui invente la machine , celui - là n'est que l'ouvrier qui la monte et la fait marcher . Dans la naissance des sociétés , dit Montesquieu , ce sont les chefs des républiques qui font l ...
Page 152
... proposer , de diviser , de dis- cuter , que le gouvernement a toujours grand soin de ne laisser qu'à ses membres : mais cette impor- tante matière demanderoit un traité à part , et je ne puis tout dire dans celui - ci . CHAPITRE II ...
... proposer , de diviser , de dis- cuter , que le gouvernement a toujours grand soin de ne laisser qu'à ses membres : mais cette impor- tante matière demanderoit un traité à part , et je ne puis tout dire dans celui - ci . CHAPITRE II ...
Page 187
... proposer le même avis par un citoyen vertueux ' . Quel honneur pour l'un , quelle note pour l'autre , sans avoir donné ni louange ni blâme à aucun des deux ! Certains ivrognes de Samos souillèrent le tribunal des éphores : le lendemain ...
... proposer le même avis par un citoyen vertueux ' . Quel honneur pour l'un , quelle note pour l'autre , sans avoir donné ni louange ni blâme à aucun des deux ! Certains ivrognes de Samos souillèrent le tribunal des éphores : le lendemain ...
Page 194
... proposer de réunir les deux têtes de l'aigle , et de tout ramener à l'unité politique , sans laquelle jamais état ni gouvernement ne sera bien constitué . Mais il a dû voir que l'esprit do- minateur du christianisme étoit incompatible ...
... proposer de réunir les deux têtes de l'aigle , et de tout ramener à l'unité politique , sans laquelle jamais état ni gouvernement ne sera bien constitué . Mais il a dû voir que l'esprit do- minateur du christianisme étoit incompatible ...
Page 276
... proposer ; mais , en recourant pour cet article au scrutin , l'on ôteroit aisément cet embarras au moyen de cartons im- primés et numérotés qu'on distribueroit aux élec- teurs la veille de l'élection , et qui contiendroient les noms de ...
... proposer ; mais , en recourant pour cet article au scrutin , l'on ôteroit aisément cet embarras au moyen de cartons im- primés et numérotés qu'on distribueroit aux élec- teurs la veille de l'élection , et qui contiendroient les noms de ...
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Common terms and phrases
abus acte affaires ames assemblées avantages avoient avoit besoin bler blique CHAPITRE chefs choses citoyens civil comices confédération conserver constitution CONTRAT SOCIAL corps politique Corse déja diéte diétines dire doit donner élections éphores établir état étoient étoit faudroit foible force forme gouvernement Grotius guerre Henri IV hommes institution intérêt j'ai jamais jugement l'abbé de Saint-Pierre l'autre l'état l'Europe l'ordre équestre laisser lative législation liberté liberum veto logne lois Lycurgue magistrats manière maximes membres ment mieux mœurs moyen n'en n'étoit nation nécessaire nonces paix palatinats palatins parcequ'il parceque paroît patrie petite Pologne peuple Pologne Polonois polysynodie pourroit pouvoir premier prince projet public publique puissance exécutive puisse qu'un raison rapport république république de Venise république romaine reste rien rois Romains Rome Rousseau s'il sauroit sénat sénateurs sera seroient seroit seul sitôt sorte souverain Sparte Starosties suffrages sujets sur-tout système tion toyens tribunat tribus volonté générale voudrois
Popular passages
Page 20 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 203 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Page 32 - Sous les mauvais gouvernements, cette égalité n'est qu'apparente et illusoire; elle ne sert qu'à maintenir le pauvre dans sa misère, et le riche dans son usurpation. Dans le fait, les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent, et nuisibles à ceux qui n'ont rien : d'où il suit que l'état social n'est avantageux aux hommes qu'autant qu'ils ont tous quelque chose , et qu'aucun d'eux n'a rien de trop.
Page 155 - Quand on propose une loi dans l'assemblée du peuple, ce qu'on leur demande n'est pas précisément s'ils approuvent la proposition ou s'ils la rejettent, mais si elle est conforme ou non à la volonté générale qui est la leur : chacun en donnant son suffrage dit son avis là-dessus, et du calcul des voix se tire la déclaration de la volonté générale. Quand donc l'avis contraire au mien l'emporte, cela ne prouve autre chose sinon que je m'étais trompé, et que ce que j'estimais être la volonté...
Page 56 - Il faut, en un mot, qu'il ôte à l'homme ses forces propres pour lui en donner qui lui soient étrangères, et dont il ne puisse faire usage sans le secours d'autrui. Plus...
Page 25 - ... la puissance souveraine n'a nul besoin de garant envers les sujets, parce qu'il est impossible que le corps veuille nuire à tous ses membres, et nous verrons ci-après qu'il ne peut nuire à aucun en particulier. Le souverain, par cela seul qu'il est , est toujours tout ce qu'il doit être.
Page 54 - Pour découvrir les meilleures règles de société qui conviennent aux nations, il faudrait une intelligence supérieure qui vît toutes les passions des hommes et qui n'en éprouvât aucune ; qui n'eût aucun rapport avec notre nature et qui la connût à fond...
Page 79 - ... parce que cette puissance ne consiste qu'en des actes particuliers qui ne sont point du ressort de la loi , ni par conséquent de celui du souverain , dont tous les actes ne peuvent être que des lois.
Page 22 - Cette personne publique, qui se forme ainsi par l'union de toutes les autres, prenait autrefois le nom de Cité, et prend maintenant celui de République ou de Corps politique, lequel est appelé par ses membres État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables.
Page 52 - Sur cette idée, on voit à l'instant qu'il ne faut plus demander à qui il appartient de faire des lois, puisqu'elles sont des actes de la volonté générale; ni si le prince est au-dessus des lois, puisqu'il est membre de...