Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volumes 4-5Chez A. de Gastel, 1826 - Wars of Liberation, 1813-1814 |
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... troupes fatiguées d'une marche d'environ douze lieues . Ainsi l'armée prussienne se trouvait établie , le 17 au soir , sur la route de Bruxelles à Namur , par Wavre , à cheval sur la Dyle . Le duc de Wellington était resté toute la nuit ...
... troupes fatiguées d'une marche d'environ douze lieues . Ainsi l'armée prussienne se trouvait établie , le 17 au soir , sur la route de Bruxelles à Namur , par Wavre , à cheval sur la Dyle . Le duc de Wellington était resté toute la nuit ...
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... troupes qui avaient combattu , et ordonna de relever les blessés . Des reconnaissances furent poussées , par la route de Namur , vers les QuatreBras . Le général Flahaut avait été expédié auprès du maréchal Ney , pour lui porter l'ordre ...
... troupes qui avaient combattu , et ordonna de relever les blessés . Des reconnaissances furent poussées , par la route de Namur , vers les QuatreBras . Le général Flahaut avait été expédié auprès du maréchal Ney , pour lui porter l'ordre ...
Page 12
... troupes ennemies , dont le petit nombre pouvait faire supposer que ce n'était qu'une arrière - garde . Dans ce moment , les cuirassiers de Milhaud , qui avaient reçu l'ordre de se porter en avant , s'avançaient vers la Belle - Alliance ...
... troupes ennemies , dont le petit nombre pouvait faire supposer que ce n'était qu'une arrière - garde . Dans ce moment , les cuirassiers de Milhaud , qui avaient reçu l'ordre de se porter en avant , s'avançaient vers la Belle - Alliance ...
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... troupes devaient être en mouvement , et elles pouvaient arriver avant neuf heures , malgré le mauvais état des chemins . Le lendemain il ne restait au maréchal Grouchy que trois lieues à parcourir , et il pouvait être arrivé à dix ...
... troupes devaient être en mouvement , et elles pouvaient arriver avant neuf heures , malgré le mauvais état des chemins . Le lendemain il ne restait au maréchal Grouchy que trois lieues à parcourir , et il pouvait être arrivé à dix ...
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... la première , commandée par le général - major de ce nom , dans la division Alten ; la seconde , commandée par le colonel , dans la division Clinton . Goumont était occupé par quelques troupes de la brigade Byng 22 LIVRE II .
... la première , commandée par le général - major de ce nom , dans la division Alten ; la seconde , commandée par le colonel , dans la division Clinton . Goumont était occupé par quelques troupes de la brigade Byng 22 LIVRE II .
Common terms and phrases
alliées anglaise armées arrêté arriva attaque aurait avaient avant ayant bataille bataillons Blücher brigade Bülow cavalerie cents chambre charge chef cinq coalisés colonnes combat commandant commun comte conduite conséquence continua convention corps côté d'autre décida déclaration demande dernier derrière devait diriger division donner également enfin ennemis état fallait force forme garde garde nationale gauche général gouvernement guerre heures jour juillet juin jusqu'à l'armée française l'armée prussienne l'empereur l'ennemi l'Europe l'ordre laisser lieu ligne marche maréchal Grouchy mars matin ment mesures mettre militaires mille hommes ministre mouvement moyens n'avait n'était Napoléon nation nouvelle nuit obligé occuper officiers ordre paix passer pays pendant Pièces place pont porter position possible pouvait pouvoir premier présent prince pris proposa puissances qu'un quatre rapport rendre réserve reste retraite réunir Rhin route s'avança s'était second sera seront seul Signé soir souverains suivantes tête tion traité troupes trouvait Voyez Wavre Wellington Ziethen
Popular passages
Page 227 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 117 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Page 228 - Ier, et par la force des constitutions de l'empire; » 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation les garanties dont elle a besoin dans les circonstances extraordinaires où elle se trouve , pour sa liberté et son repos , au moyen d'une administration qui ait toute la confiance du peuple.
Page 124 - Napoléon conserveront en outre tous les biens meubles et immeubles , de quelque nature que ce soit , qu'ils possèdent à titre particulier , et notamment les rentes dont ils jouissent, également comme particuliers, sur le grand -livre de France, ou le MonteINapoleone de Milan.
Page 64 - Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts; elles ne poseront pas les armes avant que l'état politique de l'Europe ne soit de nouveau raffermi, avant que des principes immuables n'aient repris leurs droits sur de vaines prétentions, avant que la sainteté des traités n'ait enfin assuré une paix véritable à l'Europe.
Page 227 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 108 - Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 123 - Toutes les puissances s'engagent à employer leurs bons offices pour faire respecter, par les Barbaresques, le pavillon et le territoire de l'île d'Elbe, et pour que dans ses rapports avec les Barbaresques elle soit assimilée à la France.
Page 64 - Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 117 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...