Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volumes 4-5 |
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Rien n'était plus facile , si l'on avait voulu ; car il suffisait de défendre Paris jusqu'à l'arrivée des souverains . Aussi menaçans qu'aient été Blücher et Wellington , ils n'auraient pas dévoré la capitale et deux cent mille hommes ...
Rien n'était plus facile , si l'on avait voulu ; car il suffisait de défendre Paris jusqu'à l'arrivée des souverains . Aussi menaçans qu'aient été Blücher et Wellington , ils n'auraient pas dévoré la capitale et deux cent mille hommes ...
Page 182
suite , et les plénipotentiaires continuèrent leur voyage , vers le quartier - général des souverains . Nous reviendrons plus tard sur cet objet . Ce même jour , Saint - Quentin ayant ouvert ses portes , l'armée prussienne commença son ...
suite , et les plénipotentiaires continuèrent leur voyage , vers le quartier - général des souverains . Nous reviendrons plus tard sur cet objet . Ce même jour , Saint - Quentin ayant ouvert ses portes , l'armée prussienne commença son ...
Page 206
... décidé à négocier avec les chefs des deux armées les plus voisines de Paris , ne jugea pas à propos de déployer une force , dont le but serait de forcer Blücher et Wellington d'attendre l'arrivée de tous les souverains .
... décidé à négocier avec les chefs des deux armées les plus voisines de Paris , ne jugea pas à propos de déployer une force , dont le but serait de forcer Blücher et Wellington d'attendre l'arrivée de tous les souverains .
Page 207
Parlà on réunissait une force imposante , et , pendant que l'armée du nord défendrait les approches de Paris et le passage de la Seine , on gagnait le temps d'attendre l'arrivée des souverains coalisés ; alors on pouvait traiter avec ...
Parlà on réunissait une force imposante , et , pendant que l'armée du nord défendrait les approches de Paris et le passage de la Seine , on gagnait le temps d'attendre l'arrivée des souverains coalisés ; alors on pouvait traiter avec ...
Page 211
Arrivés à Kayserslautern , le maréchal Barklay de Tolly prévint les plénipotentiaires que les souverains avaient dépassé Mannheim . Alors ils changèrent de route , et , le 30 juin , ils arrivèrent à Haguenau . Les souverains coalisés ...
Arrivés à Kayserslautern , le maréchal Barklay de Tolly prévint les plénipotentiaires que les souverains avaient dépassé Mannheim . Alors ils changèrent de route , et , le 30 juin , ils arrivèrent à Haguenau . Les souverains coalisés ...
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Popular passages
Page 227 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 117 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Page 228 - Ier, et par la force des constitutions de l'empire; » 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation les garanties dont elle a besoin dans les circonstances extraordinaires où elle se trouve , pour sa liberté et son repos , au moyen d'une administration qui ait toute la confiance du peuple.
Page 124 - Napoléon conserveront en outre tous les biens meubles et immeubles , de quelque nature que ce soit , qu'ils possèdent à titre particulier , et notamment les rentes dont ils jouissent, également comme particuliers, sur le grand -livre de France, ou le MonteINapoleone de Milan.
Page 64 - Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts; elles ne poseront pas les armes avant que l'état politique de l'Europe ne soit de nouveau raffermi, avant que des principes immuables n'aient repris leurs droits sur de vaines prétentions, avant que la sainteté des traités n'ait enfin assuré une paix véritable à l'Europe.
Page 227 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 108 - Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 123 - Toutes les puissances s'engagent à employer leurs bons offices pour faire respecter, par les Barbaresques, le pavillon et le territoire de l'île d'Elbe, et pour que dans ses rapports avec les Barbaresques elle soit assimilée à la France.
Page 64 - Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 117 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...