Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volumes 4-5Chez A. de Gastel, 1826 - Wars of Liberation, 1813-1814 |
From inside the book
Results 1-5 of 59
Page 4
... fallait sacrifier cette ville , et se retirer dans une position où l'on pût attendre l'instant où les progrès des armées du Rhin obligeraient Napo- léon à choisir une autre ligne d'opérations . La position du Mont - Saint - Jean , en ...
... fallait sacrifier cette ville , et se retirer dans une position où l'on pût attendre l'instant où les progrès des armées du Rhin obligeraient Napo- léon à choisir une autre ligne d'opérations . La position du Mont - Saint - Jean , en ...
Page 13
... fallait faire pour assurer la victoire . La grande supériorité des deux armées réunies , sur l'armée française , donnait déjà bien des chances de succès . Ainsi le duc de Wellington n'avait d'autre emploi à faire de la stratégie , que ...
... fallait faire pour assurer la victoire . La grande supériorité des deux armées réunies , sur l'armée française , donnait déjà bien des chances de succès . Ainsi le duc de Wellington n'avait d'autre emploi à faire de la stratégie , que ...
Page 17
... fallait pas davantage pour indiquer au maréchal Grouchy , qu'il fallait s'avancer encore vers Wavre le même jour . Cependant , le maréchal Grouchy s'arrêta à Gembloux , et rendit compte le même soir , à l'empereur Napoléon , de son ...
... fallait pas davantage pour indiquer au maréchal Grouchy , qu'il fallait s'avancer encore vers Wavre le même jour . Cependant , le maréchal Grouchy s'arrêta à Gembloux , et rendit compte le même soir , à l'empereur Napoléon , de son ...
Page 31
... fallait donc tenir un corps prêt à se porter au - devant de Bülow et le contenir . Dès- lors , il ne fallait plus penser à prolonger l'atta- que du 1 corps jusqu'à l'extrême gauche , puis- qu'il n'était plus possible de remplir le vide ...
... fallait donc tenir un corps prêt à se porter au - devant de Bülow et le contenir . Dès- lors , il ne fallait plus penser à prolonger l'atta- que du 1 corps jusqu'à l'extrême gauche , puis- qu'il n'était plus possible de remplir le vide ...
Page 47
... fallait supporter tous ces chocs , dans l'es- poir qu'il lui resterait encore quelques hommes debout à l'arrivée des Prussiens . Toutes ses ré- serves étaient engagées , même la division Chassé , qui avait été obligée d'entrer en ligne ...
... fallait supporter tous ces chocs , dans l'es- poir qu'il lui resterait encore quelques hommes debout à l'arrivée des Prussiens . Toutes ses ré- serves étaient engagées , même la division Chassé , qui avait été obligée d'entrer en ligne ...
Common terms and phrases
2º corps armées armistice arriva attaque aurait Autrichiens avaient ayant bataille de Ligny bataille de Waterloo bataillons Bierge brigade cavalerie chambre des représentans Charleroi chef coalisés colonnes combat comte convention corps de Bülow corps de Thielemann corps de Ziethen déclaration département central derrière devait diriger division duc de Wellington Dyle ennemis force Fouché garde nationale gauche Gembloux Genappe général Rapp Goumont guerre Haye-Sainte heures du matin juillet juin l'aile l'armée anglaise l'armée anglo-batave l'armée française l'armée prussienne l'avant-garde l'empereur Napoléon l'ennemi ligne Ligny Limale lord marche maréchal Blücher maréchal Grouchy mée ment Metternich militaires mille hommes ministre Mont-Saint-Jean mouvemens mouvement Namur nation négociations occuper officiers ordre paix passer patrie Pirch Planchenoit plénipotentiaires pont pouvait prince prussienne puissances alliées quartier-général Quatre-Bras régimens reste retraite réunir Rhin route Russie S. M. l'empereur s'avança sera seront soir souverains tion traité du 25 troupes vait Voyez Pièces justificatives Wavre Wurtemberg Ziethen
Popular passages
Page 229 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 117 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Page 230 - Ier, et par la force des constitutions de l'empire; » 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation les garanties dont elle a besoin dans les circonstances extraordinaires où elle se trouve , pour sa liberté et son repos , au moyen d'une administration qui ait toute la confiance du peuple.
Page 124 - Napoléon conserveront en outre tous les biens meubles et immeubles , de quelque nature que ce soit , qu'ils possèdent à titre particulier , et notamment les rentes dont ils jouissent, également comme particuliers, sur le grand -livre de France, ou le MonteINapoleone de Milan.
Page 65 - Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts; elles ne poseront pas les armes avant que l'état politique de l'Europe ne soit de nouveau raffermi, avant que des principes immuables n'aient repris leurs droits sur de vaines prétentions, avant que la sainteté des traités n'ait enfin assuré une paix véritable à l'Europe.
Page 229 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 108 - Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 123 - Toutes les puissances s'engagent à employer leurs bons offices pour faire respecter, par les Barbaresques, le pavillon et le territoire de l'île d'Elbe, et pour que dans ses rapports avec les Barbaresques elle soit assimilée à la France.
Page 64 - Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 117 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...