Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volumes 4-5Chez A. de Gastel, 1826 - Wars of Liberation, 1813-1814 |
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... alliées , il sera prêt à faire « < le sacrifice qui lui serait demandé , si lui seul « était un obstacle invincible à ce que la nation fût « admise à traiter de son indépendance . » L'agitation de l'assemblée ne fit que croître après ce ...
... alliées , il sera prêt à faire « < le sacrifice qui lui serait demandé , si lui seul « était un obstacle invincible à ce que la nation fût « admise à traiter de son indépendance . » L'agitation de l'assemblée ne fit que croître après ce ...
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... alliées ne pouvaient pas se trouver mêlées dans « < les querelles intérieures des Français ( * ) . « « « Il avait été proposé , dans un autre article , « que Paris serait , ainsi qu'en 1814 , exempt « de logement militaire . Le duc de ...
... alliées ne pouvaient pas se trouver mêlées dans « < les querelles intérieures des Français ( * ) . « « « Il avait été proposé , dans un autre article , « que Paris serait , ainsi qu'en 1814 , exempt « de logement militaire . Le duc de ...
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... alliées , et ayant clairement démontré , par la déclaration faite à l'ambassadeur de Bavière près de sa cour , que la mission dudit ambassadeur devait être regardée comme terminée ; qu'elle est décidée à persister dans le système ...
... alliées , et ayant clairement démontré , par la déclaration faite à l'ambassadeur de Bavière près de sa cour , que la mission dudit ambassadeur devait être regardée comme terminée ; qu'elle est décidée à persister dans le système ...
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... alliées , le soussigné , commandant en chef de l'armée austro - bavaroise , se trouve dans l'obligation de prendre possession de la totalité des états de S. A. R. , au nom des puissances alliées , et de les mettre sous le séquestre ...
... alliées , le soussigné , commandant en chef de l'armée austro - bavaroise , se trouve dans l'obligation de prendre possession de la totalité des états de S. A. R. , au nom des puissances alliées , et de les mettre sous le séquestre ...
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... Autriche reçut un subside de un million sterling et cent mille fusils . ( Discours de lord Castlereagh au parlement , le 14 novembre 1813. ) N ° III . Dispositions des Puissances alliées à l'égard 10 PIÈCES JUSTIFICATIVES .
... Autriche reçut un subside de un million sterling et cent mille fusils . ( Discours de lord Castlereagh au parlement , le 14 novembre 1813. ) N ° III . Dispositions des Puissances alliées à l'égard 10 PIÈCES JUSTIFICATIVES .
Common terms and phrases
alliées anglaise armées arrêté arriva attaque aurait avaient avant ayant bataille bataillons Blücher brigade Bülow cavalerie cents chambre charge chef cinq coalisés colonnes combat commandant commun comte conduite conséquence continua convention corps côté d'autre décida déclaration demande dernier derrière devait diriger division donner également enfin ennemis état fallait force forme garde garde nationale gauche général gouvernement guerre heures jour juillet juin jusqu'à l'armée française l'armée prussienne l'empereur l'ennemi l'Europe l'ordre laisser lieu ligne marche maréchal Grouchy mars matin ment mesures mettre militaires mille hommes ministre mouvement moyens n'avait n'était Napoléon nation nouvelle nuit obligé occuper officiers ordre paix passer pays pendant Pièces place pont porter position possible pouvait pouvoir premier présent prince pris proposa puissances qu'un quatre rapport rendre réserve reste retraite réunir Rhin route s'avança s'était second sera seront seul Signé soir souverains suivantes tête tion traité troupes trouvait Voyez Wavre Wellington Ziethen
Popular passages
Page 227 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 117 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Page 228 - Ier, et par la force des constitutions de l'empire; » 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation les garanties dont elle a besoin dans les circonstances extraordinaires où elle se trouve , pour sa liberté et son repos , au moyen d'une administration qui ait toute la confiance du peuple.
Page 124 - Napoléon conserveront en outre tous les biens meubles et immeubles , de quelque nature que ce soit , qu'ils possèdent à titre particulier , et notamment les rentes dont ils jouissent, également comme particuliers, sur le grand -livre de France, ou le MonteINapoleone de Milan.
Page 64 - Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts; elles ne poseront pas les armes avant que l'état politique de l'Europe ne soit de nouveau raffermi, avant que des principes immuables n'aient repris leurs droits sur de vaines prétentions, avant que la sainteté des traités n'ait enfin assuré une paix véritable à l'Europe.
Page 227 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 108 - Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 123 - Toutes les puissances s'engagent à employer leurs bons offices pour faire respecter, par les Barbaresques, le pavillon et le territoire de l'île d'Elbe, et pour que dans ses rapports avec les Barbaresques elle soit assimilée à la France.
Page 64 - Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 117 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...