Histoire des campagnes de 1814 et 1815, en France, Volumes 4-5Chez A. de Gastel, 1826 - Wars of Liberation, 1813-1814 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 4
... état de livrer une seconde bataille . Dans ce cas , il était urgent de s'y préparer sans délai , pour sauver Bruxelles . Dans le cas contraire , il fallait sacrifier cette ville , et se retirer dans une position où l'on pût attendre l ...
... état de livrer une seconde bataille . Dans ce cas , il était urgent de s'y préparer sans délai , pour sauver Bruxelles . Dans le cas contraire , il fallait sacrifier cette ville , et se retirer dans une position où l'on pût attendre l ...
Page 16
... état des chemins . Le lendemain il ne restait au maréchal Grouchy que trois lieues à parcourir , et il pou- vait être arrivé à dix heures du matin devant Wavre . Le maréchal convient ( * ) qu'il avait reçu l'ordre de suivre les ...
... état des chemins . Le lendemain il ne restait au maréchal Grouchy que trois lieues à parcourir , et il pou- vait être arrivé à dix heures du matin devant Wavre . Le maréchal convient ( * ) qu'il avait reçu l'ordre de suivre les ...
Page 18
... état - major pour lui annoncer qu'il était en pré- sence de l'armée anglaise , et lui prescrire de se rapprocher du restant de l'armée . Le maréchal Grouchy nie l'existence d'une dépêche de cette date qu'il n'a pas reçue . La mission ...
... état - major pour lui annoncer qu'il était en pré- sence de l'armée anglaise , et lui prescrire de se rapprocher du restant de l'armée . Le maréchal Grouchy nie l'existence d'une dépêche de cette date qu'il n'a pas reçue . La mission ...
Page 29
... état de résister à un coup de main . Une fois nos troupes parvinrent à s'em- parer d'une des portes du jardin ; un nouveau renfort des gardes anglaises les en repoussa . Alors Napoléon ordonna au comte Reille d'établir con- tre le ...
... état de résister à un coup de main . Une fois nos troupes parvinrent à s'em- parer d'une des portes du jardin ; un nouveau renfort des gardes anglaises les en repoussa . Alors Napoléon ordonna au comte Reille d'établir con- tre le ...
Page 32
... état - major fut expédié vers une heure au maréchal Grouchy , pour lui porter un nouvel ordre d'appuyer à gauche , et de chercher à empêcher les Prussiens d'inquiéter l'aile droite de l'armée principale . Le maréchal fut également ...
... état - major fut expédié vers une heure au maréchal Grouchy , pour lui porter un nouvel ordre d'appuyer à gauche , et de chercher à empêcher les Prussiens d'inquiéter l'aile droite de l'armée principale . Le maréchal fut également ...
Common terms and phrases
2º corps armées armistice arriva attaque aurait Autrichiens avaient ayant bataille de Ligny bataille de Waterloo bataillons Bavilliers Bierge brigade cavalerie chambre des représentans Charleroi chef coalisés colonnes combat comte convention corps de Bülow corps de Thielemann corps de Ziethen déclaration département central derrière devait diriger division duc de Wellington Dyle ennemis force Fouché garde nationale gauche Gembloux Genappe général Rapp Goumont guerre Haye-Sainte heures du matin juillet juin l'aile l'armée anglaise l'armée anglo-batave l'armée française l'armée prussienne l'avant-garde l'empereur Napoléon l'ennemi ligne Ligny Limale lord marche maréchal Blücher maréchal Grouchy mée ment Metternich militaires mille hommes ministre Mont-Saint-Jean mouvemens mouvement Namur nation négociations occuper officiers ordre paix passer Pirch Planchenoit plénipotentiaires pont pouvait prince prussienne puissances alliées quartier-général Quatre-Bras régimens reste retraite réunir Rhin route Russie S. M. l'empereur s'avança sera seront soir souverains tion traité du 25 troupes vait Voyez Pièces justificatives Wavre Wurtemberg Ziethen
Popular passages
Page 223 - Français! en commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés et le concours de toutes les autorités nationales. J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.
Page 115 - Rois légitimes; ils peuvent même faire plus, parce qu'ils professent toujours le principe que, pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la Constitution que la Nation française se donnera.
Page 224 - Ier, et par la force des constitutions de l'empire; » 2° Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation les garanties dont elle a besoin dans les circonstances extraordinaires où elle se trouve , pour sa liberté et son repos , au moyen d'une administration qui ait toute la confiance du peuple.
Page 122 - Napoléon conserveront en outre tous les biens meubles et immeubles , de quelque nature que ce soit , qu'ils possèdent à titre particulier , et notamment les rentes dont ils jouissent, également comme particuliers, sur le grand -livre de France, ou le MonteINapoleone de Milan.
Page 63 - Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts; elles ne poseront pas les armes avant que l'état politique de l'Europe ne soit de nouveau raffermi, avant que des principes immuables n'aient repris leurs droits sur de vaines prétentions, avant que la sainteté des traités n'ait enfin assuré une paix véritable à l'Europe.
Page 223 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations , et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil du gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 106 - Il ne dépendait que de son gouvernement de mettre, par un seul mot, un terme aux souffrances de la nation, de lui rendre, avec la paix, ses colonies, son commerce et le libre exercice de son industrie.
Page 121 - Toutes les puissances s'engagent à employer leurs bons offices pour faire respecter, par les Barbaresques, le pavillon et le territoire de l'île d'Elbe, et pour que dans ses rapports avec les Barbaresques elle soit assimilée à la France.
Page 62 - Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 115 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties, lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition...