Ses ministres, ses généraux, ses maîtresses, ses courtisans s'aperçurent, bientôt après qu'il fut le maître, de son faible plutôt que de son goût pour la gloire. Ils le louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges , disons mieux, la flatterie... Souvenirs de police, au temps de Félix Faure - Page 25by Ernest Raynaud - 1925 - 250 pagesFull view - About this book
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1840 - 548 pages
...Ils le louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges , disons mieux, la flatterie lui plaisait à tel point que les plus grossières étaient bien...reçues, les plus basses encore mieux savourées. Ce n'était que par là qu'on s'approchait de lui , et [ceux qu'il aima n'en furent redevables qu'à... | |
| Amédée Duquesnel - Literature - 1844 - 400 pages
...de son faible plutôt que de son goût pour la gloire. Ils le louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges , disons mieux, la flatterie lui plaisaient...reçues, les plus basses encore mieux savourées. Ce n'était que par-là qu'on s'approchait de lui, et ceux qu'il aima n'en furent redevables qu'à... | |
| Amedee Duquesnel - 1844 - 400 pages
...louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges , disons mieux, la flatterie lui plaisaient à tcl point que les plus grossières étaient bien reçues, les plus basses encore mieux savourées. Ce n'était que par-là qu'on s'approchât de lui, et ceux qu'il aima n'en furent redevables qu'à... | |
| Louis de Rouvroy de Saint-Simon - France - 1857 - 350 pages
...Ils le louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges , disons mieux, la flatterie lui plaisait à tel point, que les plus grossières étaient bien...reçues, les plus basses encore mieux savourées. Ce n'était que par là qu'on s'approchait de lui, et ceux qu'il aima n'en furent redevables qu'à... | |
| C. Mullié - 1859 - 440 pages
...cérémonial, voilà sa sphère. » — Opinion de Saint-Simon sur Louis XIV. — « Les flatteries lui plaisaient à tel point, que les plus grossières étaient bien reçues. La souplesse, la bassesse, l'air admirant, craignant, rampant, et, plus que tout, du néant, étaient... | |
| François Laurent - Church and state - 1865 - 632 pages
...pour laquelle Louis XIV recherchait les médiocrités ; il voulait des adorateurs, des dévots : « Les louanges, disons mieux la flatterie lui plaisaient...reçues, les plus basses encore mieux savourées... La souplesse, la bassesse, l'air admirant, dépendant, rampant, plus que tout l'air de néant sinon... | |
| Joseph de La Grange-Chancel - 1876 - 608 pages
...qu'elles lui fussent connues, c'en était fait ! « Les louanges, disons mieux, la flatterie lui plaisait à tel point, que les plus grossières étaient bien...reçues, les plus basses encore mieux savourées. La soupksse, la bassesse, l'air admirant, dépendant, rampant, plus que tout l'air de néant sinon... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1889 - 266 pages
...Ils le louèrent à l'envi et le gâtèrent. Les louanges, disons mieux, la flatterie lui plaisait à tel point que les plus grossières étaient bien...reçues, les plus basses encore mieux savourées. Ce n'était que par là qu'on s'approchait de lui, et ceux qu'il aima n'en furent redevables qu'à... | |
| René Doumic - France - 1919 - 312 pages
...orgueil allât sans cesse grandissant dans cette atmosphère d'adulation dont le roi s'enivrait. « Les louanges, — disons mieux : la flatterie, —...reçues, les plus basses encore mieux savourées.... La souplesse, la bassesse, l'air admirant, dépendant, rampant, plus que tout, l'air de néant sinon... | |
| René Doumic - France - 1919 - 310 pages
...orgueil allât sans cesse grandissant dans cette atmosphère d'adulation dont le roi s'enivrait. « Les louanges, — disons mieux : la flatterie, —...reçues, les plus basses encore mieux savourées.... La souplesse, la bassesse, l'air admirant, dépendant, rampant, plus que tout, l'air de néant sinon... | |
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