Histoire de la révolution française: Assemblée constituante. 1821. 2 volTreuttel et Würtz, 1821 - France |
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... qu'une orgueilleusé indifférence . Faut - il , disaient quelques orateurs , regarder comme obéré un gouvernement qui ... qu'offraient ces biens ne pouvaient consister , suivant lui , que dans les biens des monastères qui seraient ...
... qu'une orgueilleusé indifférence . Faut - il , disaient quelques orateurs , regarder comme obéré un gouvernement qui ... qu'offraient ces biens ne pouvaient consister , suivant lui , que dans les biens des monastères qui seraient ...
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... que , dès l'ouverture des états - généraux , et avant qu'une révolution eût perverti tous les prin- cipes et conduit vers des excès les caractères même les plus modérés , le clergé de Francé n'eût pas accédé à la belle et patriotique ré ...
... que , dès l'ouverture des états - généraux , et avant qu'une révolution eût perverti tous les prin- cipes et conduit vers des excès les caractères même les plus modérés , le clergé de Francé n'eût pas accédé à la belle et patriotique ré ...
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... qu'avaient causée les attentats du 5 octobre . Mirabeau , qui vit la victoire in- certaine , saisit , avec le coup ... une nouvelle qui enleva aux créanciers de l'état les deux tiers de leurs créances , et que l'autre tiers ne fut sauvé d'une ...
... qu'avaient causée les attentats du 5 octobre . Mirabeau , qui vit la victoire in- certaine , saisit , avec le coup ... une nouvelle qui enleva aux créanciers de l'état les deux tiers de leurs créances , et que l'autre tiers ne fut sauvé d'une ...
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... une hypothèque solide , convenaient à la fois aux vœux qu'elle formait pour la suppres- sion ou le remplacement des impôts les plus odieux , au désir qui la pressait d'imposer , par une grande puissance , aux ennemis intérieurs ou ...
... une hypothèque solide , convenaient à la fois aux vœux qu'elle formait pour la suppres- sion ou le remplacement des impôts les plus odieux , au désir qui la pressait d'imposer , par une grande puissance , aux ennemis intérieurs ou ...
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... que celle qu'avait présentée quelques mois auparavant M. de La Fare , évêque de Nancy , et que l'assemblée avait rejetée à une immense majorité quoique , dans sa rédaction , elle portât moins d'atteinte au principe de la tolérance ...
... que celle qu'avait présentée quelques mois auparavant M. de La Fare , évêque de Nancy , et que l'assemblée avait rejetée à une immense majorité quoique , dans sa rédaction , elle portât moins d'atteinte au principe de la tolérance ...
Common terms and phrases
21 juin Alexandre de Lameth amis assemblée assignats avaient avez Barnave bientôt bonheur Bouillé Burke C'était Champ-de-Mars Charles de Lameth château chefs citoyens civile du clergé club club des Jacobins cœur comte d'Artois constitutionnel courage crimes dangers déclaration décrets députés discours duc d'Orléans Duport ennemis esprit eût évêques factieux faible famille royale fidèles force fureur garde nationale gloire gouvernement guerre hommes j'ai Jacobins jamais jour juger l'abbé Maury l'as l'assem l'assemblée nationale l'autorité l'état l'Europe Lafayette laisser Lameth liberté lois long-temps Louis XVI majesté malheurs menaces ment ministres Mirabeau monarchie monarque Montmédy Montmorin motifs mouvemens n'avait nation odieux officiers ordres paix paraissaient patrie patriotisme peuple Pitt politique pouvait pouvoir prince principes puissances qu'une reine religion représentans reste révolution française révolutionnaires Robespierre rois royaume Russie s'était salut semblée sentimens sentiment sera serment seul soldats sortir surtout tion tribune trône trouble troupes Varennes venait voiture voulait zèle
Popular passages
Page 365 - Ces abus n'étaient pas moins funestes à la nation qu'au monarque; ces abus, l'autorité, sous des règnes heureux, n'avait cessé de les attaquer, sans pouvoir les détruire. Ils n'existent plus: la nation souveraine n'a plus que des citoyens égaux en droits, plus de despote que la loi, plus d'organes que des fonctionnaires publics, et le roi est le premier de ces fonctionnaires: telle est la Révolution française.
Page 415 - C'est au contraire venger la liberté, que de réprimer la licence ; c'est affranchir la Nation que de rétablir la force publique sans laquelle elle ne peut être libre. Ces principes^ Sire, sont les vôtres ; le même esprit de modération et de bienfaisance qui caractérise toutes vos...
Page 439 - M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 13 - L'assemblée nationale décrète, 1° que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir d'une manière convenable aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres, sous la surveillance et d'après les instructions des provinces.
Page 125 - La popularité que j'ai ambitionnée et dont j'ai eu l'honneur de jouir comme un autre, n'est pas un faible roseau ; c'est dans la terre que je veux enfoncer ses racines sur l'imperturbable base de la raison et de la liberté.
Page 70 - Et moi aussi, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe, et maintenant on crie dans les rues la grande trahison du comte de Mirabeau.
Page 71 - ... de la révolution celui qui peut-être n'ya pas été inutile , et qui , cette révolution fût-elle étrangère à sa gloire , pourrait là seulement trouver sa sûreté...
Page 355 - ... qui veulent alternativement ou les dicter ou les braver; des soldats sans discipline, des chefs sans autorité, des ministres sans moyens ; un roi , le premier ami de son peuple , plongé dans l'amertume , outragé , menacé , dépouillé de toute autorité...
Page 398 - C'est sur ce danger que l'Assemblée nationale appelle la sollicitude de tous les bons citoyens; c'est ce malheur véritable qu'il faut éviter. Vos représentans vou? exhortent, au nom de la patrie , au nom de la liberté , à ne pas le perdre de vue ! Dans les momens de...
Page 350 - Je ne parle pas de ceux qui n'ont été déterminés que par leur attachement pour moi : pourriez-vous y voir des coupables? Quant à ceux qui, par des excès où je pourrais...