Histoire complète de la révolution française, Volume 5Silvestre, 1835 - France |
Common terms and phrases
accusés amis André Dumont armée arrêter attaque avaient Barrère bespierre bientôt Billaud Billaud-Varennes Bourdon de l'Oise Camille Camille Desmoulins camp Carnot chef citoyens Clairfayt cœur colère collègues Collot d'Herbois comité de salut comité de sûreté commission conspirateurs Convention nationale Cordeliers coupable courage Couthon crime d'Hébert Danton déclarer décret défendit demande dénoncer députés devant ennemis faction force Fouquier Fouquier-Thinville Fréron Girondins gouvernement Hébert Henriot Jacobins jour Jourdan l'accusation l'armée l'assemblée l'échafaud l'ennemi l'orateur laisser Landrecies Lecointre Legendre Léonard Bourdon liberté Maximilien membres du comité menaçait ment mille hommes modérés Montagnards mort n'avait n'était paroles passions patrie patriotes peuple Philippeaux Pichegru porter pouvait prairial réacteurs réaction représentans républicains république révolution Robespierre Ronsin s'emparer Saint-Just salut public sauver séance sections semblait seul société soldats sort Souham Stofflet succès sûreté générale Tallien terreur tête thermidor tion tribunal révolutionnaire tribune triomphe troupes trouvait tyrans Vadier Vendéens vention victoire Vieux Cordelier voix voulait
Popular passages
Page 285 - Je ne suis d'aucune faction : je les combattrai toutes. Elles ne s'éteindront jamais que par les institutions qui produiront les garanties , qui poseront la borne de l'autorité, et feront ployer sans retour l'orgueil humain sous le joug de la liberté publique. Le cours des choses...
Page 372 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 123 - C'est à pareille époque que j'ai fait instituer le tribunal révolutionnaire. J'en demande pardon à Dieu et aux hommes.
Page 64 - Suspect. Fuyait-on au contraire la popularité et se tenait-on au coin « de son feu, cette vie retirée vous avait fait remarquer, vous avait donné de la considération. Suspect. « Etiez-vous riche ? il y avait un péril imminent que le peuple ne fût corrompu par vos largesses.
Page 218 - ... peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie ; leur but, le triomphe de la république et la ruine de ses ennemis ; la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans les formes que la loi détermine.
Page 36 - Je vous l'abandonne sans regret. S'agit-il de religion? Cet article est hors de votre domaine, et vous n'avez pas le droit de l'attaquer. J'entends parler de fanatisme, de superstition ; je les ai toujours combattus. Mais qu'on définisse ces mots, et l'on verra que la superstition et le fanatisme sont diamétralement opposés à la religion. Quant à moi, catholique par conviction et par sentiment, prêtre par choix, j'ai été désigné par le peuple pour être évêque ; mais ce n'est ni de lui...
Page 171 - Il met au premier rang de ces devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, de punir les tyrans et les traîtres, de secourir les malheureux, de respecter les faibles, de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne. IV. Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 75 - ... aussi ignorant que tu voudrais le faire croire à M. Pitt; comme si on ne pouvait lui parler qu'un langage aussi grossier; comme si c'était là le langage de la convention et du comité de...
Page 274 - ... lâche et le plus atroce? En voyant la multitude des vices que le torrent de la Révolution a roulés pêle-mêle avec les vertus civiques, j'ai craint quelquefois, je l'avoue, d'être souillé aux yeux de la postérité par le voisinage impur des hommes pervers qui s'introduisaient parmi les sincères amis de l'humanité...
Page 208 - Être des êtres, nous n'avons point à t'adresser d'injustes prières ; tu connais les créatures sorties de tes mains; leurs besoins n'échappent pas plus à tes regards que leurs plus secrètes pensées.