...complète indifférence aux abus du fisc et par le plus patent sacrifice du trésor aux traitants : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse,...d'orge et d'avoine qui fait leur « unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher de « leur bouche et de celles de leurs enfants pour payer leurs...

...caractère ne portait pas à l'exagération , confirmait à peu près i la même époque ce témoignage. « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse,...d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture... » Cinquante ans après, malgré les incontestables progrès que la richesse et le bien-être avaient...

...caractère ne portait pas à l'exagération , confirmait à peu près à la môme époque ce témoignage. « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse,...d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture... » Cinquante ans après, malgré les incontestables progrès que la richesse et le bien-être avaient...

...bien d'autres trouveraient aujourd'hui leur application ? Un Massillo» écrirait-il cette phrase? « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse,...d'orge et d'avoine qui fait leur unique nourriture.» Si J.-J. Rousseau se promenait aujourd'hui dans les campagnes qui environnent Lyon, ses regards seraient-ils...

...complète indifférence aux abus du fisc et par le plus patent sacrifice du Trésor aux traitants : « Le peuple de nos campagnes vit dans » une misère...d'orge et » d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont » obligés d'arracher de leur bouche et de celle de leurs (1) Considérattont tur le...

...peu près le même langage : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lit, sans meubles ; la plupart même, la moitié de l'année,...d'orge et d'avoine. qui fait leur unique nourriture. » Cinquante ans après, malgré les incontestables progrès que la richesse et le bien-être avaient...

...langage. * Le peuple de nos campagnes vit dans une misère affreuse, sans lit, sans meubles ; laplupart même, la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture. » Cinquante ans après, malgré les incontestables progrès que la richesse et le bien-être avaient...

...évêque de Clermont-Ferrand, écrit à Fleury : « Le peuple de nos campagnes vit dans une mi« sère affreuse, sans lits, sans meubles; la plupart même,...la moitié de l'année, manquent du pain d'orge et d'a« voinequi fait leur unique nourriture et qu'ils sontobli« gés d'arracher de leur bouche et de...

...ècrites par un èvoque bien en cour, l'aimable et doux Massillon : « Le peuple de nos campagnes est dans une misère affreuse, sans lits, sans meubles ; la plupart même, la moitiè de l'annèe, manquent du pain d'orge et d'avoine qui tait leur unique nourriture et qu'ils...

...calamité publique... » Ecoutons Massillon, évêquede Clermont. En 1740, il écrit à Flcury : « Le peuple de nos campagnes vit dans une misère » affreuse, sans lits, sans meubles. Le plus grand nom» bre, la moitié de l'année, manque du pain d'orge et » d'avoine, qui fait son...