| Catholics - 1796 - 648 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture , on nous fb; ci de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut...l'épaule; un autre fut blessé à la joue, un autre au-dessous du nez. J'occupoisune des places dans le fond; mes compagnons recevoient tous les coups... | |
| Antoine Sérieys - 1801 - 312 pages
...nous forca de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades recut un coup de sabre sur l'épaule , un autre fut blessé à la joue, un autre au dessous du nez. J'occupais une des places dans le fond ; mes compagnons recevaient tous les coups... | |
| Aimé Guillon - 1821 - 618 pages
...Abbaye , en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour de Bussy. Un de mes compagnons reçut un coup de sabre sur l'épaule , un autre fut blessé à la joue, et un troisième à la lèvre supérieure. Enfin nous arrivons à Vj4.bba.ye; les assassins nous y... | |
| Aimé Guillon, Aimé Guillon de Montléon - Christian biography - 1821 - 618 pages
...l'abbaye, en passant sur le Pont-Neuf, par la rue Dauphine et le carrefour deSussy, Un de mes compagnons reçut un coup de sabre sur l'épaule, un autre fut blessé à la joue, et un troisième à la lèvre supérieure. Enfin nous arrivons à \'j4bbaye; les assassins nous y attendoîent... | |
| 1823 - 404 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut...Qu'on se peigne, s'il se peut, la situation de mon ame, pendant ce pénible voyage... Le sang de mes camarades commençant à couler sous mes yeux , sans... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 406 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut...Qu'on se peigne, s'il se peut, la situation de mon ame, pendant ce pénible voyage... Le sang de mes camarades commençant à couler sous mes yeux, sans... | |
| François de Jourgniac Saint-Méard - France - 1823 - 404 pages
...força de les laisser ouvertes, pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut*un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fut blessé...Qu'on se peigne, s'il se peut, la situation de mon ame, pendant ce pénible voyage... Le sang de mes camarades commençant à couler sous mes yeux, sans... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1823 - 424 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut...joue ; un autre au-dessus du nez. J'occupais une des i:1 •!• places dans le fond ; mes compagnons recevaient les coups qu'on dirigeait contre moi. Qu'on... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1835 - 502 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut...Qu'on se peigne, s'il se peut, la situation de mon ame pendant ce pénible voyage.... Le sang de mes camarades commençant à couler sous mes yeux , sans... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - France - 1835 - 1006 pages
...voulûmes fermer les portières de la voiture ; on nous força de les laisser ouvertes , pour avoir le plaisir de nous outrager. Un de mes camarades reçut un coup de sabre sur l'épaule ; un autre fui blessé à la joue; un aulre au-dessus du nez. J'occupais une des places dans le fond ; mes compagnons... | |
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