Le censeur, ou examen des actes et des ouvrages qui tendent à détruire ou à consolider la constitution de l'état, Volume 6

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Chez les Libraires: Chaumerot, Blanchard, Dentu, 1815 - 332 pages
 

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Page 288 - L'intérêt de ma gloire et celui de mon bonheur sembleraient avoir marqué le terme de ma vie publique, au moment où la paix du monde est proclamée.
Page 289 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Page 190 - ... avec un supplément sur le gouvernement de. Buonaparte , depuis ses commencemens jusqu'à sa chute, et sur le retour de la maison de Bourbon ,• par M. le comte de MONTLOSIER, député de la noblesse d'Auvergne aux états-généraux.
Page 25 - Mirabeau est celui qui conviendrait le mieux par sa force, ses talents et l'habitude qu'il a de manier les affaires dans l'Assemblée. Nous' désirons en conséquence et exigeons du zèle et de l'attachement de M. de...
Page 164 - Un Anglais qui a un commerce, si le capital qu'il emploie ne lui appartient pas, et s'il est obligé d'en payer l'intérêt, ne peut soutenir sa famille. Une terre , un fonds placé , qui partout ailleurs suffiraient pour procurer de l'aisance sans travail, ne suffisent point en Angleterre pour faire vivre leur possesseur : il faut encore , s'il ne les fait pas valoir lui-même, qu'il exerce un talent, qu'il concourre, soit en.
Page 58 - Saint-Fargeau gagna deux cents voix en un jour pour la mort du foi; on sait dans le dehors, que les émigrés répétaient comme des perroquets, que le sacrifice du roi avait été jugé nécessaire; qu'on ne voulait ni de la reine pour régente, ni de son fils pour roi ; que les princes étaient d'accord sur cela avec les princes du sang et la haute noblesse. Tous ces propos sont parvenus à la cour de Vienne ; aussi l'empereur n'a jamais voulu recevoir dans ses Etats ni le prétendant, ni son frère.
Page 287 - Le Sénat conservateur réélit le citoyen Napoléon Bonaparte premier consul de la République française pour les dix années qui suivront immédiatement les dix ans pour lesquels il a été nommé par l'article 39 de la Constitution. - » 3. Le présent sénatus-consulte sera transmis par un message au Corps législatif, au Tribunal et aux consuls de la République. »i$VgnéTRONCHET, président;CHASSET, SERRURIER, secrétaires.
Page 13 - L'établissement que j'avais formé, quoique taillé sur un plan d'une autre étendue, est resté enveloppé dans des voiles impénétrables, et a laissé à leurs majestés, dans Paris, une sorte de petite armée toujours prête à agir pour leur service. » ( Recueil Ier des pièces justificatives de l'acte fondamental , etc. , n° i , page 2.
Page 95 - Il est inutile de vous rappeler toutes les raisons qui vous exposent ; car le dernier pas qui vient de vous mettre sur le sopha de la présidence, vous rapproche de \échafaud, où vous verriez cette canaille qui vous cracherait au visage, comme elle a fait à ceux que vous avez jugés. Egalité , dit d'Orléans , vous en fournit un assez grand exemple.
Page 28 - Les demandes sont bien claires. M. de Mirabeau veut avoir un revenu assuré pour l'avenir, soit en rentes viagères constituées sur le Trésor public, soit en immeubles : il ne fixe pas la...

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