Les blancs et les bleus: 1.[-3.] sér, Volume 2 |
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Common terms and phrases
armée arrivé avaient avant avez avons Barras beau Beauharnais belle Bonaparte bras c'est-à-dire C'était cause cents chambre chef cher cheval chose cinq citoyen compagnons Convention corps Coster côté coup cour d'être demanda dernier devant Diana dire disait dit-il donner effet enfants enfin êtes faisait Fargas femme fils force frère Garat garde général gens guerre heures instant j'ai jeta jeune homme jour jusqu'à l'armée l'autre l'avait l'un laisser lieu Louis madame mademoiselle main maison marches milieu mille monsieur Morgan mort n'avait n'était nommé nouvelle nuit parler parole passer patriotes peine pendant père personne pièces pied place porte pouvait premier président pris prisonnier qu'un quatre regarda rentra répondit représentant République reste Révolution rien royaliste s'était s'il sang savait seconde section sectionnaires semble sera seul signe soldats sortir suivi tenait tête tira tomber trouva venait Vive voix voulait voyageur voyez yeux
Popular passages
Page 16 - Au pied de l'échafaud j'essaie encore ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour ; Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée , Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière ; Avant que de ses deux moitiés Ce vers que je commence ait atteint la dernière , Peut-être en ces murs effrayés Le messager de mort , noir recruteur des ombres , Escorté d'infâmes soldats , Remplira de mon...
Page 16 - COMME un dernier rayon, comme un dernier zéphyre Animent la fin d'un beau jour, Au pied de l'échafaud j'essaye encor ma lyre. Peut-être est-ce bientôt mon tour. Peut-être avant que l'heure en cercle promenée Ait posé sur l'émail brillant, Dans les soixante pas où sa route est bornée, Son pied sonore et vigilant, Le sommeil du tombeau pressera ma paupière.
Page 285 - Vous pouvez compter sur la plus entière réciprocité de notre part. Nous acceptons avec plaisir toutes les offres que vous nous avez faites pour venir au secours de la République. Elles sont une nouvelle preuve de votre sincère amour pour la patrie. Vous ne devez...
Page 206 - ... à ridelles sur lesquelles on entasse les veaux pour la boucherie, et, là, pressés confusément, les pieds et les mains fortement noués de cordes, la...
Page 4 - XVII, il se proclame roi de France et de Navarre sous le nom de Louis XVIII, dans un message daté de Vérone : 23 juin I795.
Page 196 - Leclercq, officier public de l'état civil du deuxième arrondissement du canton de Paris, après avoir fait lecture, en présence des parties et témoins, 1°...
Page 196 - Marie-Joseph-Rose de Tascher ont eu déclaré à haute voix se prendre mutuellement pour époux, j'ai prononcé à haute voix que Napolione Bonaparte et Marie-Joseph-Rose de Tascher sont unis en mariage.
Page 193 - Enfin le 4 brumaire, au moment de se séparer, elle voulut terminer par un grand acte de clémence sa longue et orageuse carrière. Elle décréta que la peine de mort serait abolie dans la république française, à dater de la paix générale; elle changea le nom de la place de la Révolution en celui de place de la Concorde; enfin elle prononça une amnistie pour tous les faits relatifs à la révolution, excepté pour la révolte du 13 vendémiaire.
Page 203 - Ce n'était pas une question, c'était un droit ! On exécutait un assassinat comme un jugement, et les gens qui passaient n'avaient rien à dire. La théorie du meurtre était montée dans les hautes classes. Il y avait dans les salons des secrets de mort qui épouvanteraient les bagnes. On faisait Charlemagne à la bouillotte pour une partie d'extermination , et on ne prenait pas la peine de parler bas pour dire qu'on allait tuer quelqu'un. Les femmes , douces médiatrices de toutes les passions...
Page 92 - ... incomparable qui éclipsait tout, une physionomie pleine de candeur et parfois de malice, et que l'expression de la bonté rendait irrésistiblement attrayante, quelque chose d'indolent et de fier, la tête la mieux attachée. C'était bien d'elle qu'on eût eu le droit de dire ce que Saint-Simon a dit de la duchesse de Bourgogne : que sa démarche était celle d'une déesse sur les nuées.