Vie de Charles X, roi de France et de NavarreVernarel et Tenon, 1825 - 398 pages |
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acclamations Altesse Royale amour auguste frère avaient baron de Besenval bienfaits bientôt Bonaparte bonheur bonté çais cérémonie chambre Charles Charles X Charte cœur colonel-général comte d'Artois cortége courage couronne devait dévouement digne douleur duc d'Angoulême duc de Berri duc de Bordeaux duc de Bourbon duchesse d'Angoulême duchesse de Berri émigrés enfans époque eût événemens famille royale fidélité Fran François Ier garde nationale gloire gouvernement guerre Hélas Henri Henri IV heureux hommes infortunés jamais jour l'amour l'archevêque l'assemblée l'auguste l'Europe l'honneur larmes légions légitime long-temps Louis XVIII madame la duchesse Majesté malheur maréchal ment mille ministre monarchie monarque monseigneur le comte monseigneur le duc nation noble paix passé patrie père peuple présent prince de Condé princesse règne Reine révolution rois royaume S. A. R. monseigneur S. A. R. MONSIEUR s'était sacrée sainte sang sentimens sentiment serait seul SIEUR souverain tion trône venait victimes vive yeux
Popular passages
Page 64 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 258 - ... ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois; mais, en même temps , qu'un roi ne peut les faire respecter, et faire le bien qui est dans son cœur, qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire ; et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Page 257 - Je pardonne de tout mon cœur à ceux qui se sont faits mes ennemis , sans que je leur en aie donné aucun sujet , et je prie Dieu de leur pardonner...
Page 24 - Bourbon à pied , avec assez de monde autour de lui. Dès que M. le comte d'Artois l'a vu, il a sauté à terre, et, allant droit à lui , il lui a dit en souriant : Monsieur, le public prétend que nous nous cherchons. M. le duc de Bourbon a répondu, en étant son chapeau : Monsieur, je suis ici pour recevoir vos ordres.
Page 312 - ... et fondé le système de crédit, après les banqueroutes républicaines et impériales ; on ne demandera jamais ce que c'est que le monarque qui , trouvant une armée détruite , a recréé une armée ; le monarque qui, après des guerres glorieuses, mais longues et funestes , a mis fin en quelques mois , par un vaillant prince , à la prodigieuse expédition d'Espagne, tuant deux révolutions d'un seul coup , rétablissant deux rois sur leur trône...
Page 188 - Des mesures législatives sont indispensables : c'est à votre patriotisme , à vos lumières et à votre attachement à ma personne que je me confie sans réserve.' • » La liberté de la presse est inhérente à la Constitution actuelle; on n'y peut rien changer sans altérer tout notre système politique ; mais il faut des lois répressives, surtout dans l'état actuel de la nation.
Page 312 - France des armées étrangères après l'ambitieux qui les avait attirées dans le cœur du royaume; on ne demandera jamais ce que c'est que l'auteur de la Charte, le fondateur de la monarchie représentative, ce que c'est que le souverain qui a élevé la liberté sur les débris de la révolution , après le soldat qui...
Page 129 - L'impôt sera librement consenti, la liberté publique et individuelle assurée, la liberté de la presse respectée sauf les précautions nécessaires à la tranquillité publique, la liberté des cultes garantie; les...
Page 128 - Messieurs , j'ai pris connaissance de l'acte constitutionnel qui rappelle au trône de France le roi mon auguste frère. Je n'ai point reçu de lui le pouvoir d'accepter la Constitution; mais je connais ses sentiments et ses principes, et je ne crains pas d'être désavoué en assurant en son nom qu'il en admettra les bases.
Page 153 - Lyon sans arrêter , elle avait commencé par rassembler les troupes et les gardes nationales , et recevoir avec leur nouveau serment de fidélité , des témoignages non équivoques de dévouement. Le prince leur avait indiqué le départ pour la nuit, et devait à leur tête marcher au secours de Grenoble ) mais il avait appris quelques heures plus tard que la...