Mercure françias1775 |
From inside the book
Results 1-5 of 34
Page 7
... Sur lagile courfier le poil eft hériflé ; Des horreurs du trépas chaque être eft menacé . S'éloignant une fois de nos palais profanes , La terreur va fceller les portes des cabanes : Et Neptune lui même , en ces lieux confterné Sous un ...
... Sur lagile courfier le poil eft hériflé ; Des horreurs du trépas chaque être eft menacé . S'éloignant une fois de nos palais profanes , La terreur va fceller les portes des cabanes : Et Neptune lui même , en ces lieux confterné Sous un ...
Page 31
... Sur les gouds , comment ébranler Sa mafle lourde & gémiflante ? L'Amour , que Julie y confente , D'un feul doigt la fera rouler . Argus , vos foins nous font utiles ; Nous nous plaignons à tort de vous : • Rendez les plaifirs difficiles ...
... Sur les gouds , comment ébranler Sa mafle lourde & gémiflante ? L'Amour , que Julie y confente , D'un feul doigt la fera rouler . Argus , vos foins nous font utiles ; Nous nous plaignons à tort de vous : • Rendez les plaifirs difficiles ...
Page 40
... Sur le fimple gazon mon fommeil eft paifible ; L'Amour préfere - t - il les fuperbes tapis ? Délie eft avec moi ! par un charme invincible Ces afyles font embellis . Quel eft le cœur de fer qui , délaiflant les Grâces ; Epris d'un fol ...
... Sur le fimple gazon mon fommeil eft paifible ; L'Amour préfere - t - il les fuperbes tapis ? Délie eft avec moi ! par un charme invincible Ces afyles font embellis . Quel eft le cœur de fer qui , délaiflant les Grâces ; Epris d'un fol ...
Page 41
... Sur ton front , fur tes beaux cheveux . Mais , le Ciel le permet , embraflons - nous encore ; Le voile de la mort trop tôt vient nous couvrir . Au déclin de mes jours qui rejoindra l'aurore ? Et pourrai - je aimer fans rougir ? Livrons ...
... Sur ton front , fur tes beaux cheveux . Mais , le Ciel le permet , embraflons - nous encore ; Le voile de la mort trop tôt vient nous couvrir . Au déclin de mes jours qui rejoindra l'aurore ? Et pourrai - je aimer fans rougir ? Livrons ...
Page 55
... L'ANE , LE LION ET LE LOUP . + Fable imitée d'une Nouvelle Italienne . DANS L'Arcadie autrefois habitoit Martin Aliboron , fleur de la race Afine : Sur fon dos un Meunier chaque jour infligeoit , D'un Civ AVRIL . 1775 . 55.
... L'ANE , LE LION ET LE LOUP . + Fable imitée d'une Nouvelle Italienne . DANS L'Arcadie autrefois habitoit Martin Aliboron , fleur de la race Afine : Sur fon dos un Meunier chaque jour infligeoit , D'un Civ AVRIL . 1775 . 55.
Other editions - View all
Common terms and phrases
affez ainfi Apollonius auffi avoit beau befoin bonheur Buc'hoz bufte c'eft c'eſt c'étoit caufe charmes cher chofe Clément XIV cœur compofé connoiffance connoître DAMON fils DAMON père defirs deftinée Difcours différens efprits eft mort Elmire enfans enfuite eſt étoient étoit fage faifant fcène fecond fecours fecret femble fenfible fens fent fera feroit fervir feul fiècles fieur foin foit foldat font fous fouvent François fuccès fuis fuivant fujet gloire Guefclin Hiftoire hommes j'ai jour jufqu'à jufte l'Académie l'amour l'Auteur l'efprit l'Hiftoire Lacombe laiffer lefquelles Léonore Lettre Libraire loix lorfque Louis XV Lucile main Marc-Aurèle Mars Melille ment Mifis Miroménil Monfieur motet mufique n'eft néceffaire obfervations ORONTE Ouvrage paffer paffion paroît Pèdre perfonnes philofophie plaifir plufieurs Poëte pofte préfente prefque Prince propofe Province puiffe raifon Rakitis refpect refte Royale s'eft ſon talens tion Tragédie lyrique Tranftamare ufage Voltaire دو
Popular passages
Page 153 - Ils ne mettront pas leurs noms à leurs ouvrages , mais feulement une. fentence ou devife ; ils pourront , s'ils veulent , attacher à leur écrit un billet féparé & cacheté par eux , où feront , avec cette même fentence , leur nom , leurs qualités & leur adrefle ; & ce billet ne fera ouvert par l'académie , qu'en cas que la piece ait remporté le prix.
Page 153 - Les favans de toutes les nations font invités à travailler fur ce fujet , & même les affociés étrangers de l'académie. Elle s'eft fait la loi d'exclure les académiciens regnicoles de prétendre au prix. Ceux qui compoferont font invités à écrire en françois ou en latin, mais fans aucune obligation.
Page 134 - MARIE -THERESE. 213 faint , pour être au nombre des pauvres aux- ^ quels fa majefté impériale & royale lavoit les pieds. Depuis deux ans, fes infirmités l'avoient empêchée de fe rendre au palais ; elle fit dire à l'impératrice qu'elle avoit le plus vif regret de n'avoir pu fe...
Page 130 - Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au nom des dieux, au nom de l'univers qui t'est confié ; je te parle pour le bonheur des hommes et pour le tien. Non, tu ne seras point insensible à une gloire si pure. Je touche au terme de ma vie ; bientôt j'irai rejoindre ton père.
Page 197 - En jouiflantdu frais, je voulais auffi me livrer à la folitude : ne trouvez donc pas mauvais , mon ami , que je fois tranquille un moment.
Page 185 - Colonie , arrangée pour le clavecin ou le forte-piano , avec accompagnement d'un violon & violoncelle, ad libitum, par M. Benaut , maître de clavecin ; prix 2 liv. 8 f. A Paris, chez l'Auteur , même adrefle.
Page 145 - Soufcripteurs, à qui nous ne demandons d'autres avances, que leur engagement par écrit, de prendre & de payer les volumes en les recevant , à mefure qu'ils paroîtront.
Page 153 - ... comme elle, il descend dans les plus petits détails, sans être moins attachant ni moins beau. Son style se plie à tous les objets, et en prend la couleur : sublime, quand il déploie à nos regards l'immensité des...
Page 148 - S'il est franc canonnier. Avec grâces présenter l'arme, Viser, se déployer, Dans le ponton faire vacarme, Voilà le canonnier. (Recueil de pièces concernant le prix général de l'Arquebuse royale de France , rendu par la compagnie de la ville de SaintQuentin , le 5 septembre et jours suivants, 1774.
Page 128 - MARC-AURÈLE. <)f terme approcha , il ne fut donc point étonné. Je me fentois élevé par fes difcours. Romains , le grand homme mourant a je ne fais quoi d'impofant & d'augufte ; il femble qu'à mefure qu'il fe détache de la terre , il prend quelque chofe de cette nature divine & inconnue qu'il va rejoindre. Je ne touchois fes mains défaillantes qu'avec...