Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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... sentiment » de l'honneur , dans le vieux don Diègue ; >> celui du patriotisme , dans le vieil Horace ; » la férocité romaine , dans son fils ; l'enthou- >> siasme de religion , dans Polyeucte ; l'ambi- » tion effrénée , dans Cléopâtre ...
... sentiment » de l'honneur , dans le vieux don Diègue ; >> celui du patriotisme , dans le vieil Horace ; » la férocité romaine , dans son fils ; l'enthou- >> siasme de religion , dans Polyeucte ; l'ambi- » tion effrénée , dans Cléopâtre ...
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... sentiment de l'amour , avoit par - là même énervé son héros . « Mais , si ce reproche a pu quelquefois être fondé , on doit avouer aussi que le théâtre doit , au tableau de l'amour , les émotions les plus puissantes et les plus variées ...
... sentiment de l'amour , avoit par - là même énervé son héros . « Mais , si ce reproche a pu quelquefois être fondé , on doit avouer aussi que le théâtre doit , au tableau de l'amour , les émotions les plus puissantes et les plus variées ...
Page 32
... sentiment de l'amour et du devoir filial . Comme elle est touchante ! quand elle dit à Clytemnestre : Sur - tout , si vous m'aimez , par cet amour de mère , Ne reprochez jamais mon trépas à mon père . Et quand Agamemnon croit son projet ...
... sentiment de l'amour et du devoir filial . Comme elle est touchante ! quand elle dit à Clytemnestre : Sur - tout , si vous m'aimez , par cet amour de mère , Ne reprochez jamais mon trépas à mon père . Et quand Agamemnon croit son projet ...
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... sentiment ; on y jugeoit les ouvrages qui paroissoient ; mais ce n'étoit pas toujours le goût et l'impartialité qui présidoient à ces jugemens . On a prétendu que le langage de quelques personnes de cette société ressembloit à celui des ...
... sentiment ; on y jugeoit les ouvrages qui paroissoient ; mais ce n'étoit pas toujours le goût et l'impartialité qui présidoient à ces jugemens . On a prétendu que le langage de quelques personnes de cette société ressembloit à celui des ...
Page 39
... oublier , jusqu'au sentiment de >> l'amour - propre .... » >> Misérable ! et je vis , et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! : J'ai pour ayeul le père et le maître des LITTÉRATURE FRANÇAISE . 39.
... oublier , jusqu'au sentiment de >> l'amour - propre .... » >> Misérable ! et je vis , et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! : J'ai pour ayeul le père et le maître des LITTÉRATURE FRANÇAISE . 39.
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Common terms and phrases
amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère charme choses cœur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite mœurs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison Raynal religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tion tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...