Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
From inside the book
Results 1-5 of 56
Page 41
... travailler pour les » comédiens , ne vouloit pas du moins détruire >> l'opinion que ses ouvrages avoient donnée il » de lui . Enfin , après un peu 2 . F LITTÉRATURE FRANÇAISE . 41 >> poésie, par esprit de religion, quand il ...
... travailler pour les » comédiens , ne vouloit pas du moins détruire >> l'opinion que ses ouvrages avoient donnée il » de lui . Enfin , après un peu 2 . F LITTÉRATURE FRANÇAISE . 41 >> poésie, par esprit de religion, quand il ...
Page 51
... avoient pris Vadius pour le sage de la » pièce . >> Ces sortes de méprises sont ordinairement >> des triomphes pour l'auteur comique ; ce fut » pourtant une méprise semblable qui contri- >> bua beaucoup à faire tomber le Misanthrope ...
... avoient pris Vadius pour le sage de la » pièce . >> Ces sortes de méprises sont ordinairement >> des triomphes pour l'auteur comique ; ce fut » pourtant une méprise semblable qui contri- >> bua beaucoup à faire tomber le Misanthrope ...
Page 67
... de l'Espion Turc , par Marana , qui avoient donné à Mon- tesquieu l'idée des Lettres persanes . ( * ) Annales poétiques . plaisir . Cependant on pouvoit attendre quel- que chose de I 2 LITTÉRATURE FRANÇAISE . 67 LA ...
... de l'Espion Turc , par Marana , qui avoient donné à Mon- tesquieu l'idée des Lettres persanes . ( * ) Annales poétiques . plaisir . Cependant on pouvoit attendre quel- que chose de I 2 LITTÉRATURE FRANÇAISE . 67 LA ...
Page 91
... avoient mis à la mode , depuis l'époque de la régence , des sociétés d'un haut rang , des femmes trop malheureusement célèbres , des hommes qui devoient leurs succès à leurs vices , et qui , faisant profession d'une perversité har- die ...
... avoient mis à la mode , depuis l'époque de la régence , des sociétés d'un haut rang , des femmes trop malheureusement célèbres , des hommes qui devoient leurs succès à leurs vices , et qui , faisant profession d'une perversité har- die ...
Page 103
... avoient le plus sincèrement desiré la liberté , presque jusqu'à invoquer le despotisme , comme moins funeste que les effets de l'anar- chie , et que les cruautés de ces nombreux et féroces tyrans , qui se détruisoient mutuelle- ment ...
... avoient le plus sincèrement desiré la liberté , presque jusqu'à invoquer le despotisme , comme moins funeste que les effets de l'anar- chie , et que les cruautés de ces nombreux et féroces tyrans , qui se détruisoient mutuelle- ment ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
amour assez auroit auteur avoient avoit Barthélemy beau Beaumarchais caractère charme choses cœur comédie comique comte connoissance connoître Corneille Crébillon d'Alembert desirer devoit Diderot disoit donner écrits écrivain éloges esprit étoient étoit faisoit falloit femme Fénélon foible Fontenelle génie genre gloire goût gouvernement grace Harpe Helvétius homme j'ai jamais jours l'abbé l'académie l'ame l'amour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme lettres Littérature française loix long-temps Louis Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Staël madame de Tencin madame du Châtelet mademoiselle mademoiselle de Lussan Meilhan mérite mœurs Molière monde Montesquieu morale mort mourut n'avoit n'étoit naquit Noces de Figaro ouvrages par-tout parler paroît passion pensées père personne peuple philosophie pièce Piron plaisir poëme poète pouvoit premier prince principes qu'un quelquefois Racine raison Raynal religion rien romans Rousseau satyre sentimens sentiment seroit seul siècle société souvent style sujet sur-tout systême talens théâtre tion tragédie trouve Turcaret vérité Voltaire vrage
Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...