Essais sur la litterature française: écrits pour l'usage d'une dame étrangère, compatriote de l'auteur, Volume 2 |
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... également au plus haut degré , sans admettre de comparaison . A l'égard de la pureté , de l'élégance , de l'har- >> monie , du tour poétique , de toutes les con- » venances du style , il faut voir dans l'excellent >> commentaire de ...
... également au plus haut degré , sans admettre de comparaison . A l'égard de la pureté , de l'élégance , de l'har- >> monie , du tour poétique , de toutes les con- » venances du style , il faut voir dans l'excellent >> commentaire de ...
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... également de vivre et de mourir , On l'abandonne aux mains qui daignent le nourrir . L'autre , trop redoutable et trop digne d'envie , Voit sans cesse Amurat armé contre sa vie ; Car enfin Bajazet dédaigna de tout temps La molle ...
... également de vivre et de mourir , On l'abandonne aux mains qui daignent le nourrir . L'autre , trop redoutable et trop digne d'envie , Voit sans cesse Amurat armé contre sa vie ; Car enfin Bajazet dédaigna de tout temps La molle ...
Page 40
... années après , une femme également belle , accomplie et vertueuse . « Il y avoit douze ans » , dit un auteur , « que Racine ne songeoit plus à la poésie , >> poésie , par esprit de religion , quand il 40 ESSAIS SUR LA.
... années après , une femme également belle , accomplie et vertueuse . « Il y avoit douze ans » , dit un auteur , « que Racine ne songeoit plus à la poésie , >> poésie , par esprit de religion , quand il 40 ESSAIS SUR LA.
Page 82
... également La Fontaine » d'une place à l'académie , à cause de ses » contes , et il la lui rendit six mois après , à >> cause de ses fables : il voulut même qu'il » fût reçu avant Despréaux , qui s'étoit pré- » 82 ESSAIS SUR LA.
... également La Fontaine » d'une place à l'académie , à cause de ses » contes , et il la lui rendit six mois après , à >> cause de ses fables : il voulut même qu'il » fût reçu avant Despréaux , qui s'étoit pré- » 82 ESSAIS SUR LA.
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... également couronné par l'aca- démie de Marseille , et dont j'ai donné quelques extraits dans l'article de La Fontaine . Peu de jours après la première représenta- tion de Mustapha et Zéangir , le prince de Condé nomma Champfort ...
... également couronné par l'aca- démie de Marseille , et dont j'ai donné quelques extraits dans l'article de La Fontaine . Peu de jours après la première représenta- tion de Mustapha et Zéangir , le prince de Condé nomma Champfort ...
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Popular passages
Page 40 - Je crois voir de ta main tomber l'Urne terrible, Je crois te voir, cherchant un supplice nouveau, Toi-même, de ton Sang devenir le Bourreau. Pardonne. Un Dieu cruel a perdu ta Famille. Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta Fille.
Page 442 - ... finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l'homme, où est le sage qui sait agir, souffrir et mourir sans faiblesse et sans ostentation ? Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.
Page 444 - Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé, maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre. Socrate prenant la coupe empoisonnée bénit celui qui la lui présente et qui pleure ; Jésus, au milieu d'un supplice affreux, prie pour ses bourreaux acharnés. Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 424 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs 1 Avertissement
Page 406 - Voltaire n'écrira jamais une bonne histoire. Il est comme les moines, qui n'écrivent pas pour le sujet qu'ils traitent, mais pour la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent.
Page 23 - De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur? Ces flambeaux, ce bûcher", cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat...
Page 9 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 28 - Je fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l'histoire de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de me cacher, J'attende en ces déserts qu'on me vienne chercher. La...
Page 24 - Qu'elle eût dans son absence un pouvoir absolu. Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sortis d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang.
Page 450 - Mais si vous vous obstinez à rejeter mon secours, attendez-vous que je ne le dirai à personne. Si vous persistez à vous creuser l'esprit pour trouver de nouveaux malheurs, choisissez-les tels que vous voudrez ; je suis roi, je puis vous en procurer au gré de vos souhaits ; et, ce qui sûrement...