Mémoires de la Société d'agriculture, sciences, belles-lettres et arts d'Orléans, Volumes 41-42

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Popular passages

Page 14 - Mandons à nos amés et féaux conseillers en notre cour royale d'Amiens de publier et enregistrer les présentes : car tel est notre bon plaisir. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, notre garde des sceaux ya fait apposer par nos ordres notre grand sceau, en présence de notre commission du sceau.
Page 223 - Des dieux que nous servons connais la différence: Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance; Et le mien, quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.
Page 14 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 248 - Veillons au salut de l'Empire, Veillons au maintien de nos droits ; Si le despotisme conspire, Conspirons la perte des rois. Liberté, liberté, que tout mortel te rende hommage : Tyrans, tremblez, vous allez expier vos forfaits. Plutôt la mort que l'esclavage, C'est la devise des Français. Du destin de notre patrie Dépend celui de l'univers; Si jamais elle est asservie Tous les peuples sont dans les fers.
Page 13 - ... du Sceau ; nous réservant d'en accorder à celles des villes, communes et corporations qui n'en auraient pas obtenu de nous ou de nos prédécesseurs; et par notre...
Page 13 - Et sur la présentation qui Nous a été faite, de l'avis de notre commission du sceau, et des conclusions de notre commissaire faisant près d'elle...
Page 13 - Louis, parla grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, • A tous présents et à venir, salut.
Page 270 - ... c'est à la nation, c'est aux officiers publics, en son nom, à fournir des travaux à ceux qui en ont besoin pour leur existence et des secours aux infirmes.
Page 269 - Il doit sans doute être permis à tous les citoyens de s'assembler, mais il ne doit pas être permis aux citoyens de certaines professions de s'assembler pour leurs prétendus intérêts communs. Il n'ya plus de corporations dans l'Etat ; il n'ya plus que l'intérêt particulier de chaque individu et l'intérêt général. Il n'est permis à personne d'inspirer aux citoyens un intérêt intermédiaire, de les séparer de la chose publique par un esprit de corporation.
Page 13 - Voulant donner à nos fidèles sujets des villes et communes de notre royaume un témoignage de notre affection , et perpétuer le souvenir que nous gardons des services que leurs ancêtres ont rendus aux rois nos prédécesseurs, services consacrés par les armoiries qui furent anciennement accordées...

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