Examen critique de l'ouvrage posthume de Mme la bnne de Staël, ayant pour titre: Considérations sur les principaux événemens de la Révolution française, Volume 2 |
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a-t-elle accuser agens amis armée attaquer aurait avaient Berne Bonaparte c'était cantons cause CHAPITRE choses chute de Robespierre circonstances citoyens classe conjuration conseils constitutionnels contre-révolution convention convention nationale crimes d'après dangers députés despotisme devait directoire élémens émigrés ennemis esprits eussent eût événemens faction fallait féodalité force forfaits fût garantie girondins gouvernans gouvernemens gouvernement hommes idées individus institutions j'ai jacobins juger justice l'ancien régime l'assemblée constituante l'assemblée législative l'esprit l'état l'Europe liberté lois Louis XVI MADAME de Staël maux membres ment mesures Mme de Staël monarchie moyens n'avait n'était nation Necker nement opinions parler patrie pays de Vaud pense peuple politique position pouvait pouvoir pré premier présent prétend Mme prêtres principe puissance qu'un raison renverser républicains république révo révolution révolution française révolutionnaires Robespierre royalistes royauté s'il sentimens sentiment serait seul Staël veut Suisse systême terreur tidor tion tisme toyens trompe trône trouve vérité vernement Voilà voulait Zurich
Popular passages
Page 408 - Le peuple entra dans le sanctuaire : il leva le voile qui doit toujours couvrir tout ce que l'on peut dire, tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 379 - Bonaparte , s'emparant avec habileté de l'enthousiasme des Français pour la gloire militaire, associa leur amour-propre à ses victoires comme à ses défaites. Il prit par degrés la place que tenait la révolution dans toutes les têtes, et reporta sur son nom seul tout le sentiment national qui avait grandi la France aux yeux des étrangers.
Page 413 - Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'on te fasse; » il avoit ordonné qu'elle fût gravée dans son palais et sur les murs des édifices publics.
Page 284 - Toutefois rien ne fut si brillant que la conquête rapide de l'Italie. Sans doute, le désir qu'ont eu de tout temps les Italiens éclairés de se réunir en un seul état, et d'avoir assez de force nationale pour ne plus rien craindre ni rien espérer des étrangers, contribua beaucoup à favoriser les progrès du général Bonaparte. C'est au cri de vive l'Italie qu'il a passé le pont de Lodi, et c'est à l'espoir de l'indépendance qu'il dut l'accueil des Italiens.
Page 340 - ... sur aucune des grandes qualités qui doivent la caractériser , l'ardeur patriotique se tourna vers la gloire militaire , qui du moins alors pouvait satisfaire l'imagination.
Page 371 - ... celle du trône. Bernadotte se borna donc , comme nous le rappellerons dans le chapitre suivant , à rétablir les armées pendant qu'il fut ministre de la guerre. Les scrupules, de quelque genre qu'ils pussent être...
Page 174 - Convention , si par ces insurrections toujours renaissantes il arrivait qu'on portât atteinte à la représentation nationale, je vous le déclare, au nom de la France entière, Paris serait anéanti. Bientôt on chercherait sur les rives de la Seine si Paris a existé.
Page 9 - L'égalité s'offrant alors de toutes parts, les hommes passionnés se sont trop abandonnés au torrent démocratique ; et le peuple, ne voyant plus la royauté que dans le roi, a cru qu'il suffisoit de renverser un homme pour fonder une république.
Page 238 - Jean-Jacques; et plusieurs hommes de la même opinion lui ressemblaient à cet égard. Mais les soupçons des républicains et des jacobins en France tenaient d'abord à ce qu'ils ne pouvaient faire adopter leurs principes exagérés , et secondement à une certaine haine contre les nobles, dans laquelle il se mêlait de mauvais mouvements. On...
Page 218 - Robespierre seulement du pouvoir; il envoyait •> l'échafaud les uns comme contre-révolutionnaires, les autres comme ultra-révolutionnaires. Il y avait quelque chose de mystérieux dans sa façon d'être, qui faisait planer une terreur inconnue au milieu de la terreur ostensible que le gouvernement proclamait. Jamais il n'adopta les moyens de popularité généralement reçus alors : il...