Histoire de la Révolution française, Volume 7Langlois et Leclercq, 1855 - France |
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Common terms and phrases
¹ Mémoires 10 août accusé armés avaient Barbaroux Barère Bertrand de Moleville Brissot Buzot c'était Camille Desmoulins Chabot chap château citoyens club des Jacobins cœur Comité de surveillance commissaires Commune conspiration Convention coup coupable crime Danton déclara décret demande députés devant discours duc de Brunswick Dumouriez ennemis Fabre d'Églantine fédérés Garat gardes nationaux général Georges Duval Gironde Girondins Guadet heures Histoire parlementaire hommes Ibid jour Journal de Cléry journées de septembre juger justice l'Abbaye l'abbé Sicard l'Assemblée l'Histoire lettre liberté Louis XVI Louvet Majesté Marat Marseillais massacre Maton Mémoires de Dumouriez ment Michelet ministre Mme Roland Montagnards Montgaillard mort municipaux n'avait n'était novembre passer patrie patriotes Peltier Pétion peuple prêtres prison prisonniers procès Prudhomme Prusse Prussiens récit républicains République reste Révolution révolutionnaires Robespierre Roederer s'était Saint-Just sang séance sections septembre 1792 serait seul soldats Suisses Temple tion tribune tyran Varenne Vergniaud XVII
Popular passages
Page 249 - Vous qui soutenez la patrie chancelante contre le torrent du despotisme et de l'intrigue, vous que je ne connais que, comme Dieu, par des merveilles ; je m'adresse à vous, monsieur, pour vous prier de vous réunir à moi pour sauver mon triste pays.
Page 426 - Louis dénonçait le peuple français comme rebelle; il a appelé, pour le châtier, les armes des tyrans, ses confrères ; la victoire et le peuple ont décidé que lui seul était rebelle : Louis ne peut donc être jugé ; il est déjà jugé.
Page 394 - Un jour peut-être les hommes , aussi éloignés de nos préjugés que nous le sommes de ceux des Vandales , s'étonneront de la barbarie d'un siècle où ce fut quelque chose...
Page 468 - Qu'entraînées dans la guerre présente par des circonstances irrésistibles, les deux cours alliées ne se proposent d'autre but que le bonheur de la France , sans prétendre s'enrichir par des conquêtes.
Page 191 - Hier fut un jour sur les événements duquel IL FAUT peut-être laisser UN VOILE. Je sais que le Peuple, terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte de justice...
Page 149 - Paris concerte avec le pouvoir exécutif les mesures qu'elle est dans l'intention de prendre. Je demande aussi que l'Assemblée nationale, qui dans ce moment-ci est plutôt un grand comité militaire qu'un Corps législatif, envoie à l'instant, et chaque jour, douze commissaires au camp, non pour exhorter par de vains discours les citoyens à travailler, mais pour piocher eux-mêmes (Vifs applaudissements) ; car il n'est plus temps de discourir, il faut piocher la fosse de nos ennemis, ou chaque...
Page 150 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 186 - Innocent ou coupable, je crois qu'il serait indigne du peuple de tremper ses mains dans le sang de ce vieillard.
Page 426 - Proposer de faire le procès à Louis XVI, de quelque manière que ce puisse être, c'est rétrograder vers le despotisme royal et constitutionnel ; c'est une idée contre-révolutionnaire, car c'est mettre la révolution elle-même en litige. En effet, si Louis peut être encore l'objet d'un procès, Louis peut être absous ; il peut être innocent : que dis-je!
Page 395 - Louis, qui ne s'était pas obligé, ne peut pas être jugé civilement ; ce contrat était tellement oppressif qu'il obligeait les citoyens et non le roi : un tel contrat était nécessairement nul, car rien n'est légitime de ce qui manque de sanction dans la morale et dans la nature.