L'histoire de France depuis 1789 jusqu'en 1848: racontée à mes petits-enfants, Volume 1 |
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anciens Anglais appel armée arrêté arrivait assuré Autrichiens avaient avant bientôt Bonaparte C'était cent chargé chef commandement commençait compte Conseil Convention corps côté coup cour crimes déclaration décret demande députés dernier devant Directoire disait dit-il division donner écrivit enfin ennemis États faisait forces former française garde général gens gloire gouvernement guerre heures hommes j'ai jour juges l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'avait l'empereur l'Europe l'ordre laisser législatif liberté longtemps Louis mains marche mars menaçait ment militaire mille ministre mois Moreau mort mouvement n'avait n'était naguère Napoléon nation nationale nombre nouveau nouvelle ordres paix pape parler partout passé patrie peine pendant pensée père peuple place porter pouvait pouvoir premier consul préparait présent pressé prince pris projet proposa public puissance réclamait refusé représentants République résistance restait Révolution révolutionnaire rien Rome royale Russie s'était s'il sentiments sera seul soldats sort tard tête tion traité troupes trouvaient venait Vive voté voulait
Popular passages
Page 495 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires...
Page 6 - Il me semble que la nation assemblée n'a pas à recevoir d'ordre. » monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous, qui ne sauriez être son organe auprès de l'Assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place, ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 143 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 382 - Vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement « vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. « Votre patience , le courage que vous montrez au « milieu de ces rochers , sont admirables ; mais ils ne « vous procurent aucune gloire , aucun éclat ne re
Page 451 - N'est-ce pas nous qui avons détruit le pape, qui disait qu'il fallait faire la guerre aux musulmans? N'est-ce pas nous qui avons détruit les chevaliers de Malte , parce que ces insensés croyaient que Dieu voulait qu'ils fissent la guerre aux musulmans?
Page 523 - Depuis longtemps, général, vous devez savoir que mon estime vous est acquise. Si vous doutiez que je fusse susceptible de reconnaissance, marquez votre place, fixez le sort de vos amis. Quant à mes principes, je suis Français : clément par caractère, je le serais encore par raison. Non, le vainqueur de Lodi, de Castiglione et d'Arcole, le conquérant de l'Italie, ne peut pas préférer à la gloire une vaine célébrité.
Page 125 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de...
Page 385 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 31 - Oui, messieurs, c'est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale, c'est votre intérêt le plus grossier que j'invoque. Je ne vous dis plus comme autrefois : Donnerez-vous les premiers aux nations le spectacle d'un peuple assemblé pour manquer à la foi publique...
Page 184 - Ce calme imperturbable et cette entière abnégation de soi-même, qui n'annoncent aucun remords, et, pour ainsi dire, en présence de la mort même, ce calme et cette abnégation, sublimes sous un rapport, ne sont pas dans la nature. Ils ne peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme politique qui lui a mis le poignard à la main. Et c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids doit être cette considération morale dans la balance de la justice. Je m'en rapporte à votre prudence.