L'histoire de France depuis 1789 jusqu'en 1848: racontée à mes petits-enfants, Volume 1Hachette & cie, 1880 - France |
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Common terms and phrases
accusés Anglais armée Autrichiens avaient avez Barère Billaud-Varennes C'était Camille Desmoulins chargé citoyens colère Comité de salut commandant conseil conspiration Constitution Convention Convention nationale Corps législatif courage criait crime Danton déclaration décret demande députés devant Directoire disait-il dit-il Dumouriez écrivait émigrés ennemis envoyé Fayette force foule française garde nationale général Bonaparte Girondins gouvernement guerre j'ai Jacobins jour juges justice l'amiral l'Angleterre l'armée l'Assemblée nationale l'avait l'échafaud l'empereur liberté longtemps Louis XVI mains Marat massacres Masséna menaçait ment mille hommes ministre Mirabeau Moreau mort n'avait naguère Napoléon nation paix partout passé passions patrie patriotes Pétion peuple Pie VII porter pouvoir premier consul prêtres prince prison prisonniers protestations puissance réclamait refusé reine représentants en mission républicains république résistance restait révolution Robespierre Rome royale Russie s'écria s'écria-t-il s'était salle salut public sang sera seul Siéyes soldats terreur tête tion tribunal révolutionnaire tribune triomphe troupes Tuileries tyran venait Vergniaud violence voix voté
Popular passages
Page 487 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires...
Page 8 - Il me semble que la nation assemblée n'a pas à recevoir d'ordre. » monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous, qui ne sauriez être son organe auprès de l'Assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place, ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 145 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 384 - Vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement « vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. « Votre patience , le courage que vous montrez au « milieu de ces rochers , sont admirables ; mais ils ne « vous procurent aucune gloire , aucun éclat ne re
Page 443 - N'est-ce pas nous qui avons détruit le pape, qui disait qu'il fallait faire la guerre aux musulmans? N'est-ce pas nous qui avons détruit les chevaliers de Malte , parce que ces insensés croyaient que Dieu voulait qu'ils fissent la guerre aux musulmans?
Page 515 - Depuis longtemps, général, vous devez savoir que mon estime vous est acquise. Si vous doutiez que je fusse susceptible de reconnaissance, marquez votre place, fixez le sort de vos amis. Quant à mes principes, je suis Français : clément par caractère, je le serais encore par raison. Non, le vainqueur de Lodi, de Castiglione et d'Arcole, le conquérant de l'Italie, ne peut pas préférer à la gloire une vaine célébrité.
Page 127 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de...
Page 387 - Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons, passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain.
Page 33 - Oui, messieurs, c'est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale, c'est votre intérêt le plus grossier que j'invoque. Je ne vous dis plus comme autrefois : Donnerez-vous les premiers aux nations le spectacle d'un peuple assemblé pour manquer à la foi publique...
Page 186 - Ce calme imperturbable et cette entière abnégation de soi-même, qui n'annoncent aucun remords, et, pour ainsi dire, en présence de la mort même, ce calme et cette abnégation, sublimes sous un rapport, ne sont pas dans la nature. Ils ne peuvent s'expliquer que par l'exaltation du fanatisme politique qui lui a mis le poignard à la main. Et c'est à vous, citoyens jurés, à juger de quel poids doit être cette considération morale dans la balance de la justice. Je m'en rapporte à votre prudence.