Suite du Répertoire du Théâtre Français: Tragédies I-XIIPierre Marie Michel Lepeintre Chez Mme veuve Dabo, 1823 - French drama |
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ACTE ADMÈTE affreux alarmes ALCESTE ANTIGONE ARCAS bientôt bonheur bras bruit cacher Cador charmes cher CLAUDIUS cœur COMTE DE KENT coups couronne courroux crainte crime cruelle daignez destin diadème Dieux douleur DUC D'ALBANIE DUC DE CORNOUAILLES Duncan EDGARD ELVIRE enfans époux esprit Euménides fille fils forfait forfaits FRÉDÉGONDE frémir front funeste fureur GARDES DU DUC GERTRUDE Glamis HAMLET Hélas HELMONDE horreur hymen ingrats j'ai jamais jour l'horreur l'hymen l'instant larmes LEAR LÉNOX LOCLIN long-tems MACBETH Madame main MALCOME malheureux montrant mort mortel mourir mystère NORCESTE NORCLÈTE nuit ô ciel OE DIPE OPHÉLIE OSWALD palais parricide père perfide peuple pitié pleurs poignard POLONIUS POLYNICE prince Régane remords rois sais sang SCÈNE VII sceptre secrets Seigneur seul SÉVAR sœur soldats songe sort tems tendresse terreur terrible Thèbe tombeau Tragédies tremblant trépas trône trouble vengeance venger vengeur vertu veux victime vieillard vœux voilà vois voix Volnérille VOLWICK yeux
Popular passages
Page 127 - à mon tour vous baigner de mes pleurs ! ŒDIPE. Oui , tu seras un jour, chez la race nouvelle , De l'amour filial le plus parfait modèle. Tant qu'il existera des pères malheureux , Ton nom consolateur sera sacré pour eux ; II peindra la vertu, la pitié douce et tendre : Jamais sans tressaillir ils ne
Page 91 - Que tes remords sur toi fassent du haut des cieux Descendre et les regards et le pardon des Dieux. Privé de tous les miens dans ce palais funeste , Mes malheurs sont comblés ; mais ma vertu me reste ; Mais je suis homme et roi : réservé pour souffrir, Je saurai vivre encor; je fais plus que mourir. FIN D HAMLET.
Page 127 - N'accusons point des Dieux la justice suprême. Quels que soient nos destins, elle est toujours la même. Leurs secrètes faveurs, tes généreux bienfaits , Ont surpassé souvent tous les maux qu'ils m'ont faits : Vous me voyez gémir sous la main qui m'immole ; Mais vous n'entendez pas la voix qui me console. Qui sait,
Page 60 - de mon doute accablé; C'est trop souffrir la vie et le poids qui me tue. Eh ! qu'offre donc la mort à mon âme abattue ? Un asile assuré, le plus doux des chemins Qui conduit au repos les malheureux humains. Mourons! Que craindre
Page 120 - ŒDIPE. Je ne te blâme point, j'ai pensé comme toi. D'être heureux , en naissant, l'homme apporte l'envie ; Mais il n'est point, crois-moi, de bonheur dans la vie. Il lui faut, d'âge en âge, en changeant de malheur, Payer le long
Page 142 - moins l'horreur de mon trépas ; Elle en aura besoin , ne l'abandonnez pas. Que mes enfans aussi trouvent en vous un père. Vous devenez pour eux un appui nécessaire. Hélas ! je laisse un fils qui doit régner un jour ; Formez-le pour son peuple, et non pas pour sa cour. Loin de lui tout éclat d'une pompe importune
Page 316 - long serpent serrait le corps livide : Tous trois vers ce palais ont pris un vol rapide; Et tous trois dans les airs, en fuyant loin de moi,
Page 100 - a révélé leur crime : La piété l'emporte , et leurs couteaux pressés S'entrechoquent soudain dans son cœur enfoncés : Leur parricide zèle , innocemment impie , En déchirant son sein , croit lui donner la vie. Sa mort leur montre enfin leur détestable erreur. Médée , en s'échappant, insulte à leur douleur. Leurs pleurs, leurs
Page 61 - agité sur les flots de la vie ! Mais il craint dans ses maux , au-delà du trépas , Des maux plus grands encore , et qu'il ne connaît pas. Redoutable avenir , tu glaces mon courage
Page 133 - loin de moi. Vous savez si ma voix, toujours discrète et pure, S'est permis contre vous le plus faible murmure : C'est un de vos bienfaits , que , né pour la douleur , Je n'aie au moins jamais