Revue bourguignonne de l'enseignement supérieur, Volume 6Damidot, 1896 - Burgundy (France) |
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Common terms and phrases
abbas abbatis Sancti Actum anno André Chénier apud Arch archidiaconi autem bailli bourgeoisie cant Cartul Castellionis Chabeuf charte Chastillon Châtillon Chénier chlorure chrome chromique commans commune condition Contrat social corporations Côte-d'Or deniers dicte Dijon dissolution domaine dominus duc de Bourgogne ecclesiam ecclesie Sancti Sequani Edition G ejus episcopi esgardeurs etiam féodal fief Frénois Garnier général gouvernement habitants du Bourg Haute-Marne homines hommes Inventaire Item juridiction justice l'abbaye de Saint-Seine l'abbé l'absolutisme l'acide l'église l'évêque Langres législative Lingonensis episcopus livres Louis XIV mainmorte ment molécule monarchie Montesquieu nobis nobles noblesse notum facio omnia omnibus Panges payer Pellerey peuple politique pouvoir present presentibus privilèges quæ quam quod redevances régime religieux royal royauté Saint Saint-Seine seigneur seigneuriaux sels serfs seulement sulfate sulfate vert sulfurique sunt super taille tamen tion tournois Turcey usque Vaux-Saules vero vert de chrome Vitteaux xive siècle xvi siècle
Popular passages
Page 400 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 454 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 158 - J'oppose quelquefois par une double image Le vice à la vertu, la sottise au bon sens, Les Agneaux aux Loups ravissants, La Mouche à la Fourmi ; faisant de cet ouvrage Une ample comédie à cent actes divers, Et dont la scène est l'Univers.
Page 454 - Ces clauses bien entendues se réduisent toutes à une seule, savoir l'aliénation totale de chaque associé avec tous ses droits à toute la communauté...
Page 457 - Il s'ensuit de ce qui précède que la volonté générale est toujours droite et tend toujours à l'utilité publique ; mais il ne s'ensuit pas que les délibérations du peuple aient toujours la même rectitude. On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours.
Page 441 - Comme dans un état libre tout homme qui est censé avoir une âme libre doit être gouverné par lui-même, il faudrait que le peuple en corps eût la puissance législative; mais comme cela est impossible dans les grands états, et est sujet à beaucoup d'inconvénients dans les petits, il faut que le peuple fasse par ses représentants tout ce qu'il ne peut faire par lui-même.
Page 438 - Le pouvoir intermédiaire subordonné le plus naturel est celui de la noblesse. Elle entre, en quelque façon, dans l'essence de la monarchie , dont la maxime fondamentale est : « Point de monarque , point de noblesse; point de noblesse, point de monarque.
Page 454 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 455 - ... par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social.
Page 439 - L'ignorance naturelle à la noblesse, son inattention, son mépris pour le gouvernement civil, exigent qu'il y ait un corps qui fasse sans cesse sortir les lois de la poussière où elles seraient ensevelies. Le Conseil du prince n'est pas un dépôt convenable.