La chute de l'ancienne France: la fédération, Volume 2 |
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Common terms and phrases
adopta Alexandre de Lameth amis assemblée avaient bailliage Bailly Barnave blée bonheur Buchez et Roux Camus catholique Chambre des vacations Champ-de-Mars Charles de Lameth Châtelet chef citoyens civile clergé club club des Jacobins Comité Commune comte conseil Constitution corps législatif curé déclaration décret délibération demande députés devant discours discussion district dit-il Duquesnoy ecclésias ecclésiastiques États généraux évêques Favras Fayette fédérés février garde nationale général guerre hommes Jacobins jour Journal de Duquesnoy juge juillet l'abbé l'Assem l'Assemblée nationale l'Église l'État Lameth liberté lois Louis XVI maire Marck marquis de Favras Maurice Lambert membres ment Messieurs milice ministres Mirabeau Monsieur motion municipalité nation Necker novembre octobre officiers paix parisienne patriotique personne peuple politique pouvoir exécutif pré présent président prince principes projet prononcé propriété provinces public publique question raison Reine religieux religion Révolution révolutionnaire royale royaume s'était séance sentiments sera serment seront seulement suiv tion vote zèle
Popular passages
Page 213 - Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la Nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres...
Page 96 - ... Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 248 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne...
Page 239 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 147 - Capitale à la roche tarpéienne (1) ; mais l'homme qui combat pour la raison, pour la patrie, ne se tient pas si aisément pour vaincu. Celui qui a la conscience d'avoir bien mérité de son pays et surtout de lui être encore utile ; celui que ne rassasie pas une vaine célébrité et qui dédaigne les succès d'un jour pour la véritable gloire ; celui qui veut dire la vérité, qui veut faire le bien public indépendamment des mobiles mouvements de l'opinion populaire : cet homme porte avec lui...
Page 61 - Roi, par ses intentions, ses vertus et son rang suprême, devait en être le chef, puisqu'elle ne pouvait pas être avantageuse à la nation, sans l'être également au monarque; enfin, que l'autorité royale devait être le rempart de la liberté nationale, et la liberté nationale la base de l'autorité royale.
Page 141 - ... de la guerre, le pouvoir exécutif sera tenu de prendre sur-le-champ des mesures pour faire cesser ou prévenir toute hostilité, les ministres demeurant responsables des délais; — 5° que la formule de déclaration de guerre et des traités de paix sera de la part du Roi et au nom de la nation; — 6...
Page 49 - Voici donc, messieurs, l'amendement que je vous propose : c'est de borner l'exclusion demandée à M. de Mirabeau, député des communes de la sénéchaussée d'Aix.
Page 90 - Français indistinctement reconnaîtront l'avantage de l'entière suppression des différences d'ordre et d'é'at, lorsqu'il est question de travailler en commun au bien public, à cette prospérité de la patrie qui intéresse également tous les citoyens, et chacun doit voir sans peine que pour être appelé dorénavant à servir l'État de quelque manière, il suffira de s'être rendu remarquable par ses talents ou par ses vertus.
Page 61 - Quant à mes opinions personnelles , j'en parlerai avec confiance à mes concitoyens. Depuis le jour où , dans la seconde Assemblée des Notables , je me déclarai sur la question fondamentale qui divisait encore les esprits , je n'ai pas cessé de croire qu'une grande révolution était prête; que le Roi , par ses intentions, ses vertus et son rang suprême , devait en...