Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette, reine de France et de Navarre: Mis en ordre et puliés par m. Barrière, Volume 9Baudouin frères, 1822 - France |
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... juillet . E me rendis à l'Assemblée à dix heures ; et au- tant que je puis me le rappeler , un bruit courait -déjà dans la ville que le roi allait venir à l'Assem- blée . M. de Custines a proposé de faire une adresse au roi pour lui ...
... juillet . E me rendis à l'Assemblée à dix heures ; et au- tant que je puis me le rappeler , un bruit courait -déjà dans la ville que le roi allait venir à l'Assem- blée . M. de Custines a proposé de faire une adresse au roi pour lui ...
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... juillet ) , je n'ai éprouvé perso nellement de la part du guet que des marque d'honnêteté et de considération . L'Assemblée s sépara ; les esprits agités avaient besoin de se re poser . Elle s'ajourna à huit heures du soir , en ca que l ...
... juillet ) , je n'ai éprouvé perso nellement de la part du guet que des marque d'honnêteté et de considération . L'Assemblée s sépara ; les esprits agités avaient besoin de se re poser . Elle s'ajourna à huit heures du soir , en ca que l ...
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... juillet , qui se- mait à propos les fausses nouvelles , les craintes , les défiances pour perpétuer le trouble . Ce moteur n'a pas encore cessé son action ; il a dû avoir un grand nombre d'agens , et , pour avoir tissu et suivi 34 ...
... juillet , qui se- mait à propos les fausses nouvelles , les craintes , les défiances pour perpétuer le trouble . Ce moteur n'a pas encore cessé son action ; il a dû avoir un grand nombre d'agens , et , pour avoir tissu et suivi 34 ...
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... Je dois dire une petite circons- tance qui prouve le patriotisme et l'esprit public de cette journée . Les commis du bureau des voi- tures ne voulurent point prendre mon argent , et Jeudi 16 juillet . Je me rendis à la salle 34 ...
... Je dois dire une petite circons- tance qui prouve le patriotisme et l'esprit public de cette journée . Les commis du bureau des voi- tures ne voulurent point prendre mon argent , et Jeudi 16 juillet . Je me rendis à la salle 34 ...
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... juillet . Je me rendis à la salle dix heures du matin . A l'ouverture de la séance M. l'archevêque de Paris a rendu un premi compte de notre députation de la veille . J'ai ensuite la parole , et j'ai fait part de ma nomin tion à la ...
... juillet . Je me rendis à la salle dix heures du matin . A l'ouverture de la séance M. l'archevêque de Paris a rendu un premi compte de notre députation de la veille . J'ai ensuite la parole , et j'ai fait part de ma nomin tion à la ...
Common terms and phrases
administration août arrêté assemblée assez aujourd'hui avaient Bailly Bastille Berthier Bertrand de Moleville Besenval blée boulangers c'était cent chargé chef chose citoyens comité des subsistances commissaires commune constitution déclaration délibération demander députés devait discours district de l'Oratoire édit électeurs envoyé eût événemens fallait farines Fayette et moi Foulon fût garde nationale gardes-françaises grains habitans homme j'ai j'avais j'étais jour juger juillet justice l'abbé l'As l'Assem l'Assemblée nationale l'Hôtel-de-Ville Lally-Tollendal lendemain lettre liberté long-temps Louis XVI maire mandé matin membres MÉMOIRES ment Messieurs militaire mille ministre Mirabeau motion n'avait n'était Naigeon nation Necker nomination nommé Note des nouv officiers ordonné ordres Osselin Palais-Royal parler patriotisme pensais personnes peuple place place de l'Hôtel-de-Ville plan de municipalité Pontoise porter pouvait pouvoir président principes procès-verbal proposé proposition régiment de Flandre rendre représentans révolution s'était Saint-Méry salle semblée serait seul soir sur-le-champ sûreté tion toyens Versailles véto vœu voitures voulait
Popular passages
Page 394 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 394 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 395 - La. propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 2 - ... et leurs caresses, et leurs exhortations, et leurs présents; dites-lui que, toute la nuit, ces satellites étrangers, gorgés d'or et de vin, ont prédit dans leurs chants impies l'asservissement de la France, et que leurs vœux brutaux invoquaient la destruction de l'Assemblée nationale; dites-lui que, dans son palais même, les courtisans ont mêlé leurs danses au son de cette musique barbare, et que telle fut l'avant-scène de la Saint-Barthélemy.
Page 394 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 393 - Déclaration solennelle les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les membres du corps social , leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs...
Page 394 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 393 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 394 - Tous les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 394 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions , même religieuses , pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.