Page images
PDF
EPUB

པ་བ་པ་,

avait tant d'obligations, ce furent des malad graves dont plusieurs gardes-françaises furent teints, et le soupçon répandu qu'ils avaient empoisonnés. On nomma sur-le-champ des m decins et des chirurgiens pris dans l'assemble chargés de vérifier les faits et de constater genre des maladies. Les commissaires reven ont rendu compte qu'ils n'avaient trouvé qu' seul garde-française malade, et que sa maladi examinée attentivement dans tous ses symp mes, ne présentait aucun indice de poison. Vo comme on cherchait à remuer le peuple, su tout à indisposer les gardes-françaises, et à so lever contre lui ses défenseurs. En voici un au exemple. On arrêta au Palais-Royal un particul

sieurs objets qui lui avaient été renvoyés. Le dats qui avaient quitté leurs régimens pour se

à Paris sous les drapeaux de la liberté, ont é torisés à y rester, en leur donnant l'espéran les incorporer dans la garde nationale. Les ba arrêtés et saisis doivent être distingués en ba généraux et en bagages particuliers. Les ba généraux, comme canons, tentes, etc., do être conservés comme bonne prise; les ba particuliers doivent être rendus à leurs pro taires. Quant à la garde du roi, à Versailles gardes-françaises présens ayant affirmé que camarades, au lieu de descendre demain la g consentiraient à la continuer encore toute l semaine, l'assemblée arrêta que M. de La Fa

une utilité des assemblées : un homme hésite, par qu'il a une responsabilité et qu'il ne sait pas ce q l'avenir lui réserve pour le bien qu'il fait dans présent; au lieu qu'une assemblée prend conseil moment, fait le bien nécessaire, et ne craint po l'avenir, parce qu'elle n'a point de responsabili

Les soldats qui arrivaient successivement à Par pour devenir les défenseurs de la liberté, on les a pelait déserteurs. On attribue cette réponse M. de La Fayette : « Déserteurs! les seuls déserte sont ceux qui n'ont point abandonné leurs di peaux (1).,

(1) Cette réponse de M. de La Fayette est consignée dans Révolutions de Paris, journal de Prudhomme. Suivant c

colas-du-Chardonnet, MM. Duport, Guillo Démeuniers, vinrent nous faire part de cet de bienfaisance de la députation. Elle désirai cette somme fût employée au soulagement des vres de la capitale, et notamment de ceux du bourg Saint-Antoine. J'y joignis dix louis; je tais pas en état de faire plus; ma fortune était mais médiocre : j'en parlerai ailleurs. Le has fait qu'au moment de la révolution j'avais h

feuille, elle fut faite le 19 juillet, à l'occasion de l'arrivé régiment qui était à Meaux, et qui demandait des vivres. (Note des nouv. é

(1) Suivant les Révolutions de Paris, cette somme de 45,0 aurait été fournie, non par la seule députation de Paris par toute l'Assemblée. (Note des nouv. éd

བ་སབ་པས་བབ་, ་པསཔལ

པས་པཔཔ

passer une troupe de cavaliers, galopant à tou jambes, et composée de plusieurs de nos prin el gens de la cour, les plus notés dans ce mome Il me dit que, s'il avait eu du monde sous sa ma il les aurait fait arrêter. Je ne lui dis rien, mais trouvai très-heureux qu'il n'eût pas eu le mo de le faire. J'aimais bien mieux que ces messie prissent la fuite, que d'être amenés à Paris. J'ai que justice soit faite, mais c'est justice éclairé revêtue de toutes les formes qui la font rec naître. Les délits envers la nation, de ceux des

(1) Probablement M. Cadet de Vaux, propriétaire d'un b Franconville, et connu par une foule d'écrits utiles. (Note des nouv. éd.

« PreviousContinue »