Revue du Dauphiné, publ. sous la direction de O. Jules, Volume 1Jules Ollivier 1837 |
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Aigues-Mortes Aimar ALFRED annales avaient BARONNE bataille de Verneuil BERNARD bibliothèque Boissat Boissieu Camille Desmoulins cartulaire Charles-Martel Chorier choses cœur comte considérable critique d'Embrun Dauphiné Delacroix Desmoulins diocèse doctrines documens doute Drome écrivains enfans enfin époque esprits événemens évêque de Grenoble Expilly famille filons frère Gaules génie habitans Hautes-Alpes Histoire de Grenoble historique hommes in-fol jour l'abbé l'auteur l'autorité l'esprit l'évêque Isarn l'histoire l'Isère l'Oisans législation littéraire livres long-temps Lyon Madame de Tencin Mémoires ment mines mœurs monde monsieur montagnes Montfleury monumens morale moyen-âge nationaux noble OLLIVIER JULES ouvrage pays pensée père peuple PHILIPPE philosophie Piemond poésie politique Pont-en-Royans premier publique puissance paternelle raison Raoul de Gaucourt recherches Recueil Reinaud religieuse reste révolution Revue du Dauphiné Rhône romaine Romanche ruines s'était saint Hugues Saint-Donat Saint-Prix Sarrazins Sassenage science serait seul sociale société Statistique du département surtout système Terrasson terre Traité travaux Valbonnays Valence VICTOR Vienne XVIIIe siècle
Popular passages
Page 256 - En psychologie , par exemple , où sont aujourd'hui les théories exclusivement sensualistes ou idéalistes , et de quelle faveur jouissent-elles ? N'est-il pas vrai qu'elles sont tombées dans le plus complet discrédit, et se sont vues remplacer par des théories qui ne vont chercher la vérité dans aucun système exclusif, mais qui empruntent à tous les systèmes ce qu'ils ont de raisonnable et de légitime ? C'est qu'on a reconnu , et à bon droit, que nul système ne peut se dire en possession...
Page 50 - ... semble que tout vrai philosophe doit opter entre ces deux hypothèses, ou qu'il va se former une nouvelle religion, ou que le christianisme sera rajeuni de quelque manière extraordinaire.
Page 299 - On n'a pas besoin d'y demander la parole à un président, d'attendre son tour pendant deux heures. On propose sa motion ; si elle trouve des partisans, on fait monter l'orateur sur une chaise ; s'il est applaudi, il la rédige ; s'il est sifflé, il s'en va. Ainsi faisaient les Romains, dont le Forum ne ressemblait pas mal à notre Palais-Royal.
Page 301 - ... qui, après un entrechat, donnait un grand coup de pied dans le derrière à son premier ministre ; celui-ci le rendait à un second, le second à un troisième; et enfin celui qui recevait le dernier coup figurait le gros de la nation , qui ne se vengeait sur personne : le tout se faisait en cadence.
Page 231 - Les musulmans prirent des pays, accordèrent des sauvegardes , s'enfoncèrent, s'élevèrent jusqu'à ce qu'ils arrivèrent à la vallée du Rhône. Là, s'éloignant des côtes, ils s'avancèrent dans l'intérieur des terres.
Page 162 - Le son des cloches, qui m'a toujours singulièrement affecté, le chant des oiseaux, la beauté du jour, la douceur du paysage, les maisons éparses et champêtres dans lesquelles je plaçois en idée notre commune demeure, tout cela me frappoit tellement d'une impression vive, tendre, triste et touchante...
Page 293 - Citoyens, il n'ya pas un moment à perdre. J'arrive de Versailles. M. Necker est renvoyé. Ce renvoi est le tocsin d'une Saint-Barthélemy de patriotes. Ce soir tous les bataillons suisses et allemands sortiront du Champ de Mars pour nous égorger ; il ne nous reste qu'une ressource, c'est de courir aux armes et de prendre des cocardes pour nous reconnaître.
Page 162 - ... en idée notre commune demeure; tout cela me frappait tellement d'une impression vive, tendre, triste et touchante, que je me vis comme en extase transporté dans cet heureux temps et dans cet heureux séjour où mon cœur, possédant toute la félicité qui...
Page 141 - ' siècle, dans les provinces méridionales de la France, la Provence, le Languedoc et surtout le Dauphiné. Si quelquefois il entre dans le domaine de l'histoire générale, ce n'est que pour lui faire des emprunts qui se rattachent d'une manière directe aux annales provinciales. Le Mémorial n'est divisé ni en périodes, ni en livres, ni en chapitres : le récit est continu ; les faits seulement forment autant d'alinéa, précédés d'un titre explicatif et de la date de l'année.
Page 307 - On s'afflige de voir l'usage de la Lanterne devenir trop fréquent.... C'est un grand mal que le peuple se familiarise avec ces jeux Les exécutions du peuple sont Atroces alors qu'il envoie le cordon avec autant de facilité que le fait sa Hautesse à ceux qu'elle disgracie.