Histoire de l'administration de la guerre, Volume 4 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
acte administrateurs anciens Anglais appeler armées armes arriva assez avant avoient avoit ayant besoin bonne camp cavalerie cent cesser chargé chef cheval colonel commandant compagnie comte conseil conserver considération corps cour créa d'autres d'être déja demande dépenses députés déterminé devoit dispositions division donner effet emploi établi états étoient étoit étrangeres eût faisoit finances force formes françaises fût gardes général gens gouvernement guerre hommes hôpitaux jour l'armée l'assemblée l'état l'un laisser lieu livres Louis XVI maison major malades marche maréchal de Ségur marine mars médecins ment militaires mille ministre mouvement moyens n'avoient n'avoit n'étoit nationale nécessaire Necker nobles nombre nouveaux officiers ordonnance ordres paix parlement payer personne peuple peut-être pied place plan porter pouvoit premier premiere présent prince principal projet qu'à qu'un quatre rang rapport régiment réglements réunis rien s'il second secours seroit service servir seul soldats succès suivant tion traité troupes trouver Versailles
Popular passages
Page 302 - nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi; et vous, qui ne « sauriez être son organe auprès des états généraux, vous qui n'avez ici ni place, « ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 302 - Moniteur, séance du 23 juin. beau en colère, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; et vous, qui ne sauriez être son organe auprès des états généraux , vous qui n'avez ici ni place ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours. Cependant, pour éviter toute équivoque et tout délai, je déclare que si on vous a chargé de nous faire sortir d'ici, vous devez employer la force ; car nous ne quitterons nos places que par la puissance...
Page 327 - Sire , nous vous en conjurons au nom de la patrie, au nom de votre bonheur et de votre gloire, renvoyez vos soldats aux postes d'où vos conseillers les ont tirés : renvoyez cette artillerie , destinée à couvrir vos frontières ; renvoyez surtout les troupes étrangères, ces alliés de la nation, que nous payons pour défendre et non pour troubler nos foyers.
Page 302 - Où sont les ennemis de la nation ? Catilina est-il à nos portes ? Je demande qu'en vous couvrant de votre dignité, de votre puissance législative, vous vous renfermiez dans la religion de votre serment ; il ne nous permet de nous séparer qu'après avoir fait la constitution.
Page 326 - Les mouvemens de votre cœur, sire, voilà le vrai salut des Français. Lorsque des troupes s'avancent de toutes parts, que des camps se forment autour de nous, que la capitale est investie, nous nous demandons avec étonnement : Le roi s'est-il méfié de la fidélité de ses peuples? S'il avait pu en douter, n'aurait-il pas versé dans notre cœur ses chagrins paternels?
Page 301 - cette insultante dictature ? l'appareil des armes, «la violation du temple national, pour vous « commander d'être heureux ! Qui vous fait ce «commandement? votre mandataire. Qui vous «donne des lois impérieuses? votre mandataire, «lui qui doit les recevoir de...
Page 250 - Un capitaine-commandant, un capitaine en second, un lieutenant en premier, un lieutenant en second, un sous-lieutenant en premier, un sous-lieutenant en second.
Page 338 - Quand les hommes ont fait tout ce qui est en leur pouvoir, il ne reste plus qu'à se soumettre avec patience aux lois de la nécessité et aux décrets de la Providence.
Page 232 - ... la postérité. Un mousquetaire nommé Girardeau, blessé dangereusement, avait été porté près de sa tente. On manquait de chirurgiens assez occupés ailleurs; on allait panser le prince à qui une balle avait percé les chairs de la jambe : « Commencez, dit le prince, par soulager cet officier français, il est plus blessé que moi, il manquerait de secours et je n'en manquerai pas.
Page 327 - Le danger, sire, est plus terrible encore; et jugez de son étendue par les alarmes qui nous amènent devant vous. De grandes révolutions ont eu des causes bien moins éclatantes ; plus d'une entreprise fatale aux nations s'est annoncée d'une manière moins sinistre et moins formidable.