| Pierre Joseph A. Roussel - 1815 - 342 pages
...cachot Lucileî Lucile! ô ma chère Lucile ! où es-tu? Quand j'ai aperçu , dans le jardin, ta mère, un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...barreaux. J'ai joint les mains, comme implorant sa pitié. J'ai vu sa douleur, à son mouchoir et à son voile, qu'elle a baissé, ne pouvant tenir à ce spectacle.... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 410 pages
...pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant tenir... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 412 pages
...un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai apercu , dans le jardin , ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur (ici encore une trace clelarines)^ à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant tenir... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 442 pages
...un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu, dans le jardin, ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleus ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé, ne pouvant... | |
| Philippe-Joseph-Benjamin Buchez, Pierre Célestin Roux-Lavergne - France - 1837 - 514 pages
...eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...bien sûr , dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur (ici encore une trace de larmes) à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé , ne pouvant tenir... | |
| Camille Desmoulins - France - 1838 - 444 pages
...eu un pareil moment, et mon cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre les...comme implorant sa pitié , elle qui gémit, j'en suis hien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur ( ici encore une trace de larmes), à son mouchoir... | |
| Alphonse Esquiros - France - 1847 - 494 pages
...ouvrant mes fenêtres, la pensée de ma solitude, mes affreux barreaux, les verroux qui me séparent de toi, ont vaincu toute ma fermeté d'âme. J'ai...barreaux; j'ai joint les mains comme implorant sa pitié à elle qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa douleur à son mouchoir et... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 402 pages
...pareil moment, et mon » cœur s'est également fendu quand j'ai aperçu dans » le jardin ta mère. Un mouvement machinal m'a » jeté à genoux contre...implorant sa pitié, elle qui gémit, » j'en suis sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa dou» leur à son mouchoir et à son voile qu'elle a baissé,... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 302 pages
...pareil moment, et mon cœur » s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta » mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre » les barreaux ; j'ai joint les mains implorant sa pitié , elle » qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa •n... | |
| Alphonse de Gisors - Palaces - 1847 - 284 pages
...pareil moment, et mon cœur •* s'est également fendu quand j'ai aperçu dans le jardin ta » mère. Un mouvement machinal m'a jeté à genoux contre » les barreaux ; j'ai joint les mains implorant sa pitié, elle » qui gémit, j'en suis bien sûr, dans ton sein. J'ai vu hier sa » douleur... | |
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