Voyages d'Antenor en Grèce et en Asie, avec des notions sur l'Égypte: manuscript grec trouvé à Herculanum, Volume 1F. Buisson, anx, 1801 - Greece |
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Common terms and phrases
agréable aimable alloit amant amour Antenor archonte Aristippe Athènes Athéniens avoient avoit Bacchus beau beauté belle bientôt Bion bonheur bras c'étoit chants CHAP CHAPITRE charmes cher Chrysilla coeur connoître couronne d'Antenor d'Athènes d'Euphémie déesse demanda Denis devoit dieu dieux Dioclès dis-je disoit dit-il douce douleur doux eaux enfans ensuite époux esclave étoient étoit Eudoxie Euphémie faisoit femme fête fille fleurs fleuve foiblesse gens gloire Gonnus Grèce Hésiode heureux homme Iphicrate j'ai j'avois j'étois jette jeune jour Jupiter l'ame l'amour Laïs larmes Lasthénie Leucade lyre main malheureux mère Minerve mort nuit Parménide paroissoit paroît Pélopidas père Phanor Phaon Philon philosophie Philoxène pieds plaisir plaisirs Platon pleurs Pnyx Polyphron portoit prêtres Psyché Pythagore qu'un repas reste sage Sapho seroit soleil Solon souvent statue talens temple terre tête Thalès Théagène Théano Thèbes Théone Théophanie trouve Vénus visage vois voix volupté vouloit voyoit Xénocrate Xénophane yeux Zénon
Popular passages
Page 349 - ^pour toi seule soupire ; Qui jouit du plaisir de t'entendre parler ; Qui te voit quelquefois doucement lui sourire ! Les dieux, dans son bonheur, peuvent-ils l'égaler ! JE sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps , sitôt que je te
Page 349 - Et dans les doux transports où s'égare mon ame, Je ne saurois trouver de langue ni de voix. UN nuage confus se répand sur ma vue, Je n.entends plus, je tombe en. de douces langueurs ; Et pâle , sans haleine, interdite , éperdue
Page 45 - est plus douce, plus touchante que la joie de le recevoir ; il faut y revenir souvent: c'est un plaisir qui ne s'use point ; plus on le goûte , plus on se rend digne de le goûter. On s'accoutume à sa prospérité, on y devient insensible ; mais on sent toujours la
Page 38 - unie avec le corps en est sans cesse tyrannisée. Si le mouvement du sang est trop lent, si les esprits ne sont pas assez épurés , ou si la quantité est insuffisante, nous tombons dans l'abattement et la tristesse ; si, par des breuvages , nous changeons cette disposition du corps, notre
Page 349 - C'est la belle ode traduite par Catulle, ensuite par Boileau. Voici la traduction de ce dernier : HEUREUX qui, près de toi ^pour toi seule soupire ; Qui jouit du plaisir de t'entendre parler ; Qui te voit quelquefois doucement lui sourire ! Les dieux, dans son bonheur, peuvent-ils l'égaler ! JE sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps , sitôt que je te
Page 35 - bizarre est l'écart d'une imagination exaltée, et je doute qu'il soit jamais adopté (7). Ce qui pourroit encore jeter des doutes sur l'amour désintéressé de ce beau génie, c'est ce madrigal passionné qu'il fit pour Agathis : Lorsqu'Agathis, par un baiser de flamme, Consent à me payer des maux que
Page 331 - qui m'éclaire peut être le dernier. Je dois imiter l'homme des champs ; plus le lever de la nuit s'approche, plus il hâte ses travaux ». Chaque jour est un bien que du ciel je reçoi : Je jouis aujourd'hui de celui qu'il me
Page 356 - Thabor, et cette lumière, selon eux, étoit incréée. (65) Blanche de Castille, mère de saint Louis. dans pareille circonstance, se conduisit de même, en disant : « Quoi ! souffrirai-je qu'on m'ôte le titre de mère, que je tiens de Dieu et de la nature « ? ( 66 ) Caligula aimoit passionnément sa dernière femme, nommée Césonie; il lui disoit souvent, en