Die Haager friedenskonferenz: bd. Das kriegsrecht der Haager konferenzJ. Schweitzer verlag (A. Sellier), 1907 - International Peace Conference |
Contents
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Common terms and phrases
Abkommen Ardagh Article Artikel Beer Poortugael Beernaert belligérants Besetzungsheeres besondere Bestimmungen Beuterecht Bevölkerung Bevollmächtigte Bonfils Brüsseler Deklaration Brüsseler Konferenz daher Dahn deshalb deutsche Dum-Dum-Geschosse Ehrenwort Erklärung erst être Fall Fassung Feind feindlichen Felix Dahn folgende Frage französische Friedenskonferenz Generalstabsheft Genfer Konvention Geschosse Gesetze Gewehr Gilinsky Gross Haager Friedenskonferenz Haager Konferenz handelt Heer holländische Holtzendorffs Hdb indes insbesondere Jahre jetzt Kaliber Karnebeek Kommission konnte Kontributionen Kranken Krieg kriegführenden Kriegsgebrauch Kriegsgefangenen Kriegsgesetzbuchs Kriegsmittel Kriegspartei Kriegsrecht Land Landsturm Lazarettschiffe Lesung letztere lichen Lueder Luftschiffen Macht Martens meinte Mérignhac militärische Notwendigkeit MStGB muss neuen neuen Reich neutrale Staat oben Offiziere paix Parlamentär Pflicht Präsident Privateigentums Ratifikation Recht Redaktionsausschuss Regierung Renault Requisitionen Rolin Rolinschen Kommissionsbericht Russland Schiffe schliesslich Schutz Schwarzhoff Seekrieg Sitzung Soldaten soll später Spionage Stelle territoire Truppen übrigens unsere Unterkommission Verbot Vereinigten Staaten Verhandlungen Vertreter Verwundeten Völker Völkerrecht Waffen Waffenstillstand weiter wieder wohl Zorn Zusatzartikel zweiten
Popular passages
Page 29 - L'armistice suspend les opérations de guerre par un accord mutuel des parties belligérantes. Si la durée n'en est pas déterminée, les parties belligérantes peuvent reprendre en tout temps les opérations, pourvu toutefois que l'ennemi soit averti en temps convenu, conformément aux conditions de l'armistice.
Page 656 - Elles, les populations et les belligérants restent sous la sauvegarde et sous l'empire des principes du droit des gens, tels qu'ils résultent des usages établis entre nations civilisées, des lois de l'humanité et des exigences de la conscience publique.
Page 29 - Est considéré comme parlementaire l'individu autorisé par l'un des belligérants à entrer en pourparlers avec l'autre et se présentant avec le drapeau blanc.
Page 25 - L'armée qui occupe un territoire ne pourra saisir que le numéraire, les fonds et les valeurs exigibles appartenant en propre à l'Etat, les dépôts d'armes, moyens de transport, magasins et approvisionnements et, en général, toute propriété mobilière de l'Etat de nature à servir aux opérations de la guerre.
Page 27 - A cette catégorie appartiennent également les individus envoyés en ballon pour transmettre les dépêches, et, en général, pour entretenir les communications entre les diverses parties d'une armée ou d'un territoire.
Page 26 - Ne peut être considéré comme espion que l'individu qui, agissant clandestinement ou sous de faux prétextes, recueille ou cherche à recueillir des informations dans la zone d'opérations d'un belligérant, avec l'intention de les communiquer à la partie adverse.
Page 660 - Tout prisonnier de guerre, libéré sur parole et repris portant les armes contre le Gouvernement envers lequel il s'était engagé d'honneur, ou contre les alliés de celui-ci, perd le droit au traitement des prisonniers de guerre et peut être traduit devant les tribunaux.
Page 25 - ... même appartenant à des sociétés ou à des personnes privées, sont également des moyens de nature à servir aux opérations de la guerre, mais devront être restitués, et les indemnités seront réglées à la paix.
Page 25 - Les biens des communes, ceux des établissements consacrés aux cultes, à la charité et à l'instruction, aux arts et aux sciences, même appartenant à l'État, seront traités comme la propriété privée.
Page 671 - ... est inviolable et ne peut être fait prisonnier de guerre. Il emporte, en quittant le navire, les objets et les instruments de chirurgie qui sont sa propriété particulière. Ce personnel continuera à remplir ses fonctions tant que cela sera nécessaire et il pourra ensuite se retirer lorsque le commandant en chef le jugera possible. Les belligérants doivent assurer à ce personnel tombé entre leurs mains la jouissance intégrale de son traitement.