Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI.Chez Garnery, [Chez] Fautin, 1813 - France |
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Common terms and phrases
affaires alliés Anglais armée auroit Autrichiens avoient avoit Banque bataille billets d'état Bohême Broglie bulle çais cardinal cent chancelier compagnie compagnie d'Ostende comte conseil côté Cour d'Espagne Daun déclaration dès-lors devoient devoit Don Carlos donnoit Dubois duc d'Orléans duc de Cumberland duc du Maine duchesse duchesse du Maine effet enfin ennemis Espagnols états étoient étoit évêques exilés faisoit falloit firent flotte foible forces Fran Frédéric général gouvernement guerre Jésuites justice l'amiral l'Angleterre l'armée l'église l'empereur l'ennemi l'état l'île l'infante Lally long-temps Louis XV Louisbourg mandement maréchal maréchal de Broglie mée même-temps ment mille hommes millions ministre mois monarque mort n'avoit Noailles paix parlement passer Philippe Pologne pouvoit premier prétexte prince Charles prince de Soubise princesse Prusse puissances régent reine rent retraite royaume Russes s'étoient s'étoit Sardaigne Saxe secours seroit seulement siége Silésie sur-tout systême tion traité trône troupes trouvoit Unigenitus vaisseaux venoit Villars vouloit
Popular passages
Page xiii - Messieurs , que je la mériterai par mon zèle pour le service du roi , et par mon amour pour le bien public, surtout étant aidé par vos conseils , et par vos sages remontrances; je vous les demande par avance...
Page 219 - Le fils de votre roi, lui dit-il, vient vous demander du pain et un habit. Je sais que vous êtes mon ennemi ; mais je vous crois assez de vertu pour ne pas abuser de ma confiance et de mon malheur. Prenez les misérables vêtements qui me couvrent, gardez-les ; vous pourrez me les apporter un jour dans le palais des rois de la Grande-Bretagne.
Page 364 - Le 6 août 176-2 parut l'arrêt qui, sans attendre le vœu du monarque, tant sur le fond que sur les accessoires, dissout la société, fait défense aux jésuites d'en porter l'habit, de vivre sous l'obéissance du général, d'entretenir avec lui, ou autres supérieurs nommés par lui, aucune correspondance directe ni indirecte ; leur enjoint de quitter leurs maisons, leur fait défense de vivre en commun, réservant d'accorder à chacun d'eux, sur leur requête, des pensions alimentaires qui furent...
Page xii - Après avoir reçu le viatique, il m'appela, et me dit : Mon neveu, j'ai fait un testament où je vous ai conservé tous les droits que vous donne votre naissance ; je vous recommande le dauphin, servez-le aussi fidèlement que vous m'avez servi, et travaillez à lui conserver son royaume ; s'il vient à manquer vous serez le maître, et la couronne vous appartient.
Page 373 - Vous voyez votre nom placé , leur dit-il , à là suite de celui du pauvre et de l'indigent ; la religion et la nature mettent ainsi tous les hommes de niveau , la vertu seule apporte entre eux quelque différence , et peut-être que celui qui vous précède...
Page 163 - Moravie et laHaute-Silésie, le surplus au roi de Prusse; enfin les possessions autrichiennes d'Italie au roi d'Espagne, pour y former un établissement à l'infant don Philippe, frère de don Carlos, sauf quelques districts pour le roi de Sardaigne.
Page xiii - ... l'Église, et de travailler enfin avec toute l'application qui me sera possible à tout ce qui peut rendre un État heureux et florissant.
Page xii - J'ai fait les dispositions que j'ai crues les plus sages; mais comme on ne sauroit tout prévoir, s'il ya quelque chose qui ne soit pas bien , on le ch'angera.
Page 107 - Roi, qui étoit des plus dures, et conçue en ces termes : « Je « vous ordonne, sous peine de désobéissance, de vous « rendre à Chantilly, et d'y demeurer jusqu'à nouvel
Page 108 - S'il ya jamais eu quelqu'un d'heureux sur la terre, c'est sans doute le cardinal de Fleury. On le regarda comme l'homme le plus aimable et de la société la plus délicieuse jusqu'à l'âge de soixante- treize ans; et lorsqu'à cet âge, où tant de vieillards sont forcés de se retirer du monde, il eut pris en mains les rênes du royaume, il fut regardé comme un des plus sages. » (Anquetil, Histoire de France.} Fleury voulait des ministres qui fussent sous sa dépendance. Le garde des sceaux...