Mahé de la Bourdonnais et la Compagnie des Indes

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R. Prud'Homme, 1905 - Colonial administrators - 265 pages

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Popular passages

Page 238 - A CES CAUSES, et autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre Conseil et de notre certaine...
Page 242 - Si donnons en mandement à nos amés et féaux conseillers les gens tenant notre cour de parlement à Paris , que ces présentes ils aient à faire lire , publier et registrer , et le contenu en icelles garder et observer inviolablement de point en point, selon leur forme et teneur...
Page 58 - Votre visite nous sera encore plus douce et plus agréable, » reprenaient ces jeunes filles. Quand on l'interrogeait sur son âge et sur celui de Paul : « Mon frère, disaitelle , est de l'âge du grand cocotier de la fontaine , et moi de celui du plus petit. Les manguiers ont donné douze fois leurs fruits, elles orangers vingt-quatre fois leurs fleurs, depuis que je suis au monde.
Page 213 - CAR TEL EST NOTRE PLAISIR : et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 238 - A ces causes et autres à ce nous mouvans, de l'avis de notre Conseil, et de notre certaine science, pleine puissance et autorité royale, nous avons, par...
Page 58 - Virginie à la famille, les ombres des bananiers sont à leurs pieds ; » ou bien : « La nuit s'approche, les tamarins ferment leurs feuilles.
Page 58 - Paul et Virginie n'avaient ni horloges, ni almanachs, ni livres de chronologie, d'histoire et de philosophie. Les périodes de leur vie se réglaient sur celles de la nature. Ils connaissaient les heures du jour par l'ombre des arbres ; les saisons, par les temps où ils donnent leurs fleurs ou leurs fruits ; et les années, par le nombre de leurs récoltes. Ces douces images répandaient les plus grands charmes dans leurs conversations. « II est temps de dîner, disait Virginie à la famille, les...
Page 58 - Toute leur étude était de se complaire et de s'entr'aider. Au reste, ils étaient ignorants comme des créoles, et ne savaient ni lire ni écrire.
Page 11 - J'ai honte, dans le temps présent, de vous représenter que depuis plus de quatre ans que je suis capitaine de vaisseau, je n'ai pas reçu deux mois d'appointements, que la pension dont le roi m'a honoré ne m'a pas été payée...
Page 101 - Madras, avec leurs dépendances, seront remis aujourd'hui, 21 septembre, à deux heures après midi, à M. Mahé de la Bourdonnais, gouverneur des îles de France et de Bourbon, et commandant les troupes françaises.

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