Mémoires, correspondances et manuscrits du Général Lafayette: Révolution françaiseScribe, Tecmen & cie., 1837 - France |
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... présent ne laisse pas d'être constitutionnelle . Nous avons jugé quelques députés qui ont été renvoyés , avec raison peut - être , mais par des motifs différens de ceux qui auraient pu déterminer . Nous avons nommé nos commissaires ...
... présent ne laisse pas d'être constitutionnelle . Nous avons jugé quelques députés qui ont été renvoyés , avec raison peut - être , mais par des motifs différens de ceux qui auraient pu déterminer . Nous avons nommé nos commissaires ...
Page 56
... présent . Il faudra manoeu- vrer vis - à - vis des ministres et travailler sans relâche à la chose publique . Ce que vous me mandez de *** me fait grand plaisir , Je brûle du désir de le voir hors de tout ce train . On verra que tous ...
... présent . Il faudra manoeu- vrer vis - à - vis des ministres et travailler sans relâche à la chose publique . Ce que vous me mandez de *** me fait grand plaisir , Je brûle du désir de le voir hors de tout ce train . On verra que tous ...
Page 59
... en moi toute leur con- fiance , et si je reste , je suis dans la terrible situation de voir le mal sans y remedier . ( 1 ) Le surlendemain de l'assassinat de MM . Foulon et Berthier . Je suis un peu mieux à présent ; le calme 1789 . 59.
... en moi toute leur con- fiance , et si je reste , je suis dans la terrible situation de voir le mal sans y remedier . ( 1 ) Le surlendemain de l'assassinat de MM . Foulon et Berthier . Je suis un peu mieux à présent ; le calme 1789 . 59.
Page 60
... présent ; le calme à Paris va bien ; la cabale infernale qui m'assiége me paraît être poussée par des étrangers . Cette idée m'encourage , parce qu'il n'y a rien de si cruel que d'être tourmenté par ses concitoyens . Vous ne pouvez vous ...
... présent ; le calme à Paris va bien ; la cabale infernale qui m'assiége me paraît être poussée par des étrangers . Cette idée m'encourage , parce qu'il n'y a rien de si cruel que d'être tourmenté par ses concitoyens . Vous ne pouvez vous ...
Page 76
... présent , que pourriez - vous faire pour mes gardes ? » — « Amenez - m'en un , » répondit Lafayette ; puis donnant sa cocarde à ce garde - du - corps , il l'embrassa , et le peuple cria : « Vivent les gardes - du - corps ! >> Dès ce ...
... présent , que pourriez - vous faire pour mes gardes ? » — « Amenez - m'en un , » répondit Lafayette ; puis donnant sa cocarde à ce garde - du - corps , il l'embrassa , et le peuple cria : « Vivent les gardes - du - corps ! >> Dès ce ...
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Common terms and phrases
10 août 14 juillet aide-de-camp amis aristocrates armée Armoire de fer aurait autrichien avaient Bailly bataillons Boinville Bouillé Charles de Lameth chefs cher cousin circonstances citoyens club comité commandant-général commandement confiance conseil constitutionnel corps législatif cour déclaration décret demande députés devoir discours donner duc d'Orléans Dumouriez ennemis envoyé eût événemens factieux faction fayette fédération force garde nationale gardes-du-corps gardes-françaises général Lafayette Givet gouvernement guerre intrigues j'ai jacobins jours juin l'armée l'assemblée constituante l'assemblée nationale l'Hôtel-de-Ville l'ordre public Lameth lettre liberté Louis XVI madame de Lafayette maire maréchal Luckner Maubeuge membres ment Messieurs militaire mille hommes ministre Mirabeau Monsieur Montmédy Montmorin motion mouvemens moyens municipalité nation Necker Note du général octobre officiers ordres patrie patriotes personne personnelle peuple politique populaire pouvait premier présent prince principes projet publique reine représentans républicain respect reste révolution Rochambeau royale royauté s'était séance sentimens serait serment seul soldats talens tion troupes Versailles zèle
Popular passages
Page 414 - Ici les principes de liberté et d'égalité sont chéris, les lois respectées, la propriété sacrée; ici l'on ne connaît ni les calomnies ni les factions : et lorsque je songe que la France a plusieurs millions d'hommes qui peuvent devenir de pareils soldats , je me...
Page 11 - L'assemblée, interprète de la nation, déclare que M. Necker, ainsi que les autres ministres qui viennent d'être éloignés, emportent avec eux son estime et ses regrets. Déclare qu'effrayée des suites funestes que peut entraîner la réponse du roi, elle ne cessera d'insister sur l'éloignement des troupes extraordinairement rassemblées près de Paris et de Versailles, et sur l'établissement des gardes bourgeoises. Déclare, de nouveau, qu'il ne peut exister d'intermédiaire entre le roi...
Page 97 - Quelle administration! quelle époque où il faut tout craindre et tout braver ; où le tumulte renaît du tumulte ; où l'on produit une émeute par les moyens qu'on prend pour la prévenir; où il faut , sans cesse de la mesure, et où la mesure paraît équivoque, timide, pusillanime ; où il faut déployer beaucoup de force, et où la force paraît tyrannie ; où l'on est assiégé, de mille conseils, et où il faut...
Page 415 - Enfin que le règne des clubs, anéanti par vous, fasse place au règne de la loi , leurs usurpations à l'exercice ferme et indépendant des autorités constituées , leurs maximes désorganisatrices aux vrais principes...
Page 17 - ... tout le peuple, l'ordre de la démolition a été sur-le-champ proclamé par les trompettes de la ville dans la cour de l'Hôtel, au nom de M. le marquis de La Fayette...
Page 181 - Redites à vos concitoyens que j'aurais voulu leur parler à tous, comme je vous parle ici; redites-leur que leur roi est leur père, leur frère, leur ami; qu'il ne peut être heureux que de leur bonheur , grand que de leur gloire, puissant que de leur liberté, riche que de leur prospérité, souffrant que de leurs maux. « Faites surtout entendre les paroles ou plutôt les sentiments de mon cœur dans les humbles chaumières et dans les réduits des infortunés.
Page 97 - ... en fermentation continuelle à la suite d'une révolution qui a bouleversé tous les anciens rapports ; dans un temps de troubles et de terreurs, où des mains invisibles faisaient disparaître l'abondance, et combattaient secrètement tous les soins, tous les efforts des chefs, pour nourrir l'immensité de ce peuple, obligé de conquérir, à force de patience, le. morceau de pain qu'il avait déjà gagné par ses sueurs. Quelle administration! quelle époque où il faut tout craindre et tout...
Page 415 - ... au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend ; enfin leurs combinaisons sectaires, aux véritables intérêts de la patrie qui, dans ce moment de danger, doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce jouissance ou d'une infâme spéculation.
Page 182 - Roi, de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le Roi, de protéger conformément aux lois la sûreté des personnes et des propriétés, la...
Page 266 - ... prospérité qu'elle garantit. Ainsi, lorsque tout concourt à la pacification des troubles intérieurs , les menaces des ennemis de la patrie devront , à la vue du bonheur public, leur paraître à eux-mêmes d'autant plus insensées, que, quelque combinaison qu'on parvînt jamais à former contre les droits du peuple, il n'est aucune âme libre qui pût concevoir la lâche pensée de transiger sur aucun de ses droits, et que la liberté et l'égalité une fois établies dans les deux hémisphères...