Histoire des journaux et des journalistes de la révolution française (1789-1796) précédée d'une introduction générale: Barère. Camille Desmoulins. Fauchet et Bonneville. Condorcet. Robespierre. Tallien. Cérutti, Grouvelle et Ginguené. Prudhomme, Tournon et Loustalot. Fréron et Labenette. Royou et Montjoye. Mirabeau. Babeuf. Cloots. Mallet du Pan. Gorsas. Mercier et Carra. Garat. Momoro. Louvet. Audouin. Rabaut Saint-Étienne. ChénierBureau de la Société de l'industrie fraternelle, 1846 - France |
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10 août ajoutait-il amis aristocrates articles assemblée Audouin avaient Babeuf Barère Bonneville Bouche de Fer Brabant Brissot Camille Desmoulins Carra cause Cercle social Cérutti cesse Champ de Mars Cloots club club des Cordeliers comité concitoyens Condorcet conspiration constitution contre-révolution contre-révolutionnaires Convention nationale Cordeliers Courrier Courrier de Provence crime Danton déclaration décret députés Deschiens despotisme disait disait-il discours districts dit-il écrits écrivains ennemis événements Fauchet Feuille villageoise foule Fréron Garat garde nationale général girondins Gorsas gouvernement Grouvelle guerre hommes j'ai jacobins jour journal de Prudhomme justice l'abbé Royou l'Ami des Citoyens l'Assemblée nationale l'Orateur du Peuple Lafayette lecteurs législative lettres liberté Louis XVI Loustalot Louvet Mallet du Pan Malouet Marat membres ment Mercure ministres Mirabeau mois Momoro nation numéro opinions parler patrie patriotes Pétion politique premier principes publique républicains République révolutionnaire Robespierre s'était séances sections Sentinelle sera seul Tallien teurs thermidoriens tion tribune trouve tyrans vérité Vieux Cordelier voulait
Popular passages
Page 509 - La république nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr ; Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir.
Page 509 - La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans, descendez au cercueil.
Page 466 - Et, d'après cela, nous vous conjurons, au nom de la patrie, ou de déclarer sur-le-champ que la France n'est plus une monarchie, qu'elle est une république; ou, au moins, d'attendre que tous les départements...
Page 325 - nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi; et vous, qui ne « sauriez être son organe auprès des états généraux, vous qui n'avez ici ni place, « ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Page 505 - Dieu que le Guèbre adore au pied de ses montagnes En invoquant l'astre du ciel. Ici sont rassemblés, sous ton regard immense, De l'empire français les fils et les soutiens, Célébrant devant toi leur bonheur qui commence Egaux à leurs yeux comme aux tiens.
Page 496 - Citoyens, la révolution est dans le peuple et non point dans la renommée de quelques personnages. Cette idée vraie est la source de la justice et de l'égalité dans un Etat libre ; elle est la garantie du peuple contre les hommes artificieux qui s'érigent en quelque sorte en patriciens, par leur audace et leur impunité.
Page 507 - ... reconquis son pouvoir immortel. Sur les pompeux débris de l'antique imposture Ses mains relèvent ton autel. Venez, vainqueurs des rois, l'Europe vous contemple; Venez, sur les faux dieux étendez vos succès, Toi , sainte Liberté , viens habiter ce temple; Sois la déesse des Français ! Ton aspect réjouit le mont le plus sauvage , Au milieu des rochers enfante les moissons ; Embelli par tes mains , le plus affreux rivage Rit environné de glaçons.
Page 340 - Et voilà cependant comment l'autorité la plus légitime est énervée, dégradée, avilie; comment l'exécution des lois rencontre mille obstacles ; comment la défiance répand partout ses poisons ; comment, au lieu de présenter une société de citoyens qui élèvent ensemble l'édifice de la liberté , on ne ressemblerait plus qu'à des esclaves mutins qui viennent de rompre leurs fers, et qui s'en servent pour se battre et se déchirer mutuellement. Je crois donc, messieurs, que le sentiment...
Page 8 - ... dans le sacerdoce, l'orgueil dans le patriciat , la bassesse dans le peuple, la division entre tous les intérêts , la corruption dans toutes les classes dont se compose la grande famille, la cupidité dans toutes les âmes , l'insignifiance de la nation , la tutelle du prince, le despotisme des ministres.
Page 508 - Source de vérité qu'outrage l'imposture, De tout ce qui respire éternel protecteur, Dieu de la Liberté, Père de la Nature, Créateur et Conservateur ; O toi! seul incréé, seul grand, seul nécessaire, Auteur de la Vertu, principe de la Loi. Du pouvoir despotique immuable adversaire. La France est debout devant toi. Tu posas sur les mers les fondements du monde.