Les moralistes français au dix-huitième siècle |
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actions âme assez bonheur c'était café Procope caractère catéchisme de Volney chap chose cœur courage d'ailleurs d'Alembert d'Helvétius despotisme devoir Diderot dire dit-il doctrine doute Duclos écrivains effet époque esprit fond galité général gens gloire Helvétius Histoire des idées hommes idées morales j'ai Jean-Jacques Rousseau jeune jugement JULES BARNI juste justice l'Académie l'amour l'auteur l'histoire l'homme l'humanité l'intérêt personnel LEÇON législateur lettres liberté libre arbitre livre de l'Esprit lois Louis Louis XV lui-même Malheureusement maximes ment mieux Mme d'Houdetot Mme du Châtelet mœurs Montesquieu montre morales et politiques n'était nargues nature noblesse ouvrage parler passer passions pensée peuple philosophie du XVIIIe philosophie morale physique poëme préjugés premier principe publié qu'un question raconte raison Révolution Révolution française ruines Saint-Lambert sentiment serait seul social société sorte suivant sujet système tion traité trouve Turgot Vauve Vauvenargues vérité vertu vétius vice voilà volonté Voltaire vrai XVIIIe siècle
Popular passages
Page 183 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 144 - Ame abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles : ou plutôt tu veux en vain t'avilir, ton génie dépose contre tes principes, ton cœur bienfaisant dément ta doctrine, et l'abus même de tes facultés prouve leur excellence en dépit de toi.
Page 144 - Qu'on me montre un autre animal sur la terre qui sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ? je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu; je puis contempler l'univers, m'élever à la main qui le gouverne; je puis aimer le bien, le faire; et je me comparerais aux bêtes...
Page 122 - Si la nature, au lieu de mains et de doigts flexibles, eût terminé nos poignets par un pied de cheval, qui doute que les hommes, sans arts, sans habitation, sans défense contre les animaux, tout occupés du soin de pourvoir à leur nourriture et d'éviter les bêtes féroces, ne fussent encore errants dans les forêts comme des troupeaux fugitifs...
Page 34 - Nous avons grand tort de penser que quelque défaut que ce soit puisse exclure toute vertu, ou de regarder l'alliance du bien et du mal comme un monstre ou comme une énigme ; c'est faute de pénétration que nous concilions si peu de choses.
Page 110 - J'aperçois, disais-je, que votre ancienne amie est plus fidèle que vous; car plusieurs bons partis lui ont été offerts, qu'elle a refusés tous. Je vous confesse que je l'ai aimée, moi, à la folie; mais elle était dure à mon égard , et m'a rejeté absolument pour l'amour de vous.
Page 46 - Jusqu'à ce qu'on rencontre le secret de rendre les esprits plus justes, tous les pas que l'on pourra faire dans la vérité...
Page 29 - La raison et le sentiment se conseillent et se suppléent tour à tour. Quiconque ne consulte qu'un des deux et renonce à l'autre, se prive inconsidérément d'une partie des secours qui nous ont été accordés pour nous conduire 1.