Histoire de la Révolution française, Volume 6 |
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accusés ajoute Anglais appelait armées arrêté arrivé assez attaquer aurait avaient avant Barrère bientôt c'était Camille cause cent chargé chef citoyens Clerfayt Collot comité de salut commençait commune conduite convention côté coup courage cours Couthon d'autres Danton décret déja demande députés derniers devait diriger disait dit-il division donner enfin ennemis ensuite faisait fallait force former fort garder général gens gouvernement guerre Hébert jacobins jette jeune jour juges jusqu'à l'armée l'un laisser liberté lieu livrer main malheureux manière marche membres menacés ment milieu mille hommes mort mouvement moyens n'avait n'était nombre nommé nouveau nouvelle obligé parler parole passer patriotes pendant peuple place plan porter pouvait pouvoir premier présenter pris prisons projet propos qu'à qu'un rapport rendre représentants république reste réunir révolution révolutionnaire Robespierre s'était Saint-Just salle salut public Sambre Savenay sentir serait seul société suivant sûreté tion tribunal troupes trouvait venait victoire voulait voyait
Popular passages
Page 428 - Comité de salut public, et constitué ainsi deux gouvernements; que des membres du Comité de salut public entrent dans ce complot; que la coalition ainsi formée cherche à perdre les patriotes et la patrie. Quel -est le remède à ce mal? Punir les traîtres, renouveler les bureaux du Comité de sûreté générale, épurer ce Comité...
Page 422 - Je me défendrai aussi moi-même : vous n'en serez point surpris; vous ne ressemblez point aux tyrans que vous combattez. Les cris de l'innocence outragée n'importunent point votre oreille, et vous n'ignorez pas que cette cause ne vous est point étrangère.
Page 248 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 253 - Il sera institué des fêtes pour rappeler l'homme à la pensée de la Divinité et à la dignité de son être.
Page 246 - C'est dans la prospérité que les peuples, ainsi que les particuliers, doivent, pour ainsi dire, se recueillir pour écouter, dans le silence des passions, la voix de la sagesse.
Page 345 - Jamais le monde qu'il a créé ne lui offrit un spectacle aussi digne de ses regards. Il a vu régner sur la terre la tyrannie, le crime et l'imposture : il voit dans ce moment une nation entière aux prises avec tous les oppresseurs du genre humain, suspendre le cours de ses travaux héroïques pour élever sa pensée et ses vœux vers le grand Ètre qui lui donna la mission de les entreprendre et la force de les «exécuter!
Page 249 - Voyez-vous avec quel art profond César, plaidant dans le sénat romain en faveur des complices de Catilina, s'égare dans une digression contre le dogme de l'immortalité de l'âme, tant ces idées lui paraissent propres à éteindre dans le cœur des juges l'énergie de la vertu, tant la cause du crime lui paraît liée à celle de l'athéisme!
Page 210 - Ma voix qui, tant de fois, s'est fait entendre pour la cause du peuple, pour appuyer et défendre ses intérêts, n'aura pas de peine à repousser la calomnie. Les lâches qui me calomnient oseraient-ils m'attaquer en face ? Qu'ils se montrent, et bientôt je les couvrirai eux-mêmes de l'ignominie de l'opprobre qui les caractérisent. Je l'ai dit et je le répète...
Page 130 - Ne sais-tu donc pas, Hébert , que quand les tyrans d'Europe veulent avilir la république; quand ils veulent faire croire à leurs esclaves que la France est couverte .des ténèbres de la barbarie, que Paris , cette ville si vantée par son...
Page 250 - Ses coryphées déclamaient quelquefois contre le despotisme, et ils étaient pensionnés par les despotes ; ils faisaient tantôt des livres contre la cour, et tantôt des dédicaces aux rois, des discours pour les courtisans, et des madrigaux pour les courtisanes; ils étaient fiers dans leurs écrits, et rampants dans les antichambres.