Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1925 - France |
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Alger allait âme Arabes astéroïdes avaient Barrès beau Beaulieu Bonaparte Briey c'était CARDINAL LAVIGERIE Carthage Chambre chose chrétiens cœur Conseil d'autres demande devant Dieu dire disait donner Dymov église Égypte enfants esprit faisait femme Fernand Baldensperger fille Florian Font-Romeu française général gens Gonthier Gouvernement groupements guerre Henriette homme j'ai j'avais j'étais jamais Jean Louis jeune jour Kabyles l'Afrique l'Allemagne l'Angleterre l'armée l'Église l'Islam laisser Lavigerie légôrouchka Léon XIII Liban Lorraine main maison Maroc Maurice Barrès ment militaire mois monde mort musulmans n'avait n'était Napoléon nation nationale œuvre officiers ouvriers paix Pantéley Pape parler passé pays pensée Perbal Pères Blancs petite peuple peut-être Pie IX Pinsonneau politique porte premier qu'un regard régime reste Révolution rien Rome route s'était saint Saint-Omer semblait sentiment serait seulement siècle sociale société Société des nations soir sorte Spincourt surtout syndicalisme Syrie terre tion trouver Tunisie Valognes vieille vieux village voilà voix voulait yeux
Popular passages
Page 361 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître.
Page 377 - Je jure de maintenir l'intégrité du territoire de la république; de respecter et de faire respecter les lois du concordat et la liberté des cultes; de respecter et de faire respecter l'égalité des droits, la liberté politique et civile, l'irrévocabilité des ventes des biens nationaux...
Page 927 - Ê et de vous envoyer mon discours ; mais, depuis le mois de janvier, je n'ai pas respiré un instant, j'ai été écrasé de bonheurs ; tout m'est arrivé à la fois, et les jours m'ont à peine suffi pour les visites et les devoirs indispensables que tant de félicité m'a imposés. J'ai obtenu en trois semaines le brevet de lieutenant-colonel, la croix de SaintLouis, mon fauteuil académique, et une abbaye à six lieues de Paris pour une tante à moi, religieuse à Arles.
Page 377 - Considérant qu'au lieu de régner dans la seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple français...
Page 545 - C'est en moi que sa chanson, qui montait vers le grand ciel froid, a pénétré pour jusqu'à ma mort. Que sera-ce si l'un de mes mots, le plus secret et si douloureux d'invincible désabusement, passe dans son divin gosier et par son chant revient sur mon cœur, comme une pluie de musique, fondre toute sécheresse ? Nous avons marié nos parts immortelles, et la mauvaise circonstance qui ne nous...
Page 669 - Il parlait encore ; Mateo avait armé son fusil et le couchait en joue ' en lui disant : — Que Dieu te pardonne...
Page 366 - ... avec chaleur qu'il est temps de mettre un terme à de si horribles attentats, qu'il est temps enfin de donner une leçon à ceux qui se sont fait une habitude journalière de conspirer contre ma vie ; qu'on n'en finira qu'en se lavant dans le sang...
Page 559 - ... âpres natures de la Vieille Alliance ; nous deviendrons de plus en plus chrétiens. En politique, nous concilierons deux choses que les peuples sémitiques ont toujours ignorées : la liberté et la forte organisation de l'État. A la poésie nous demanderons une forme pour cet instinct de l'infini qui fait notre charme et notre tourment, notre noblesse en tout cas.
Page 374 - ... nos destinées aux vôtres, qui nous lie à vos familles, à vos cœurs, à vos consciences. Jamais nous ne transigerons sur l'héritage de nos pères. Jamais nous n'abandonnerons nos droits. Français ! nous...
Page 543 - Charlemagne avec les Bonaparte, — les Annibal et les César de Rome, — pour avoir franchi ces hauteurs ! — Lorsque tous les printemps, en caravane, — lorsque tous les étés et les automnes, — avec leurs grands boucs qui ouvrent la trace — parmi la neige grenue des névés, — le bâton à la main, jouant du fifre, — nos pâtres, eux, gravissent et passent les montagnes.