Faits, calculs et observations sur la dépense d'une des grandes administrations de l'état à toutes les époques, depuis le règne de Louis XIV, et inclusivement jusqu'en 1825 ... |
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académie ACADÉMIE DE PEINTURE administration affaires étrangères agences agents politiques Alger années annuelle annuités aujourd'hui avaient budget de 1825 calcul cause cent chambre des pairs charge château de Versailles classes Colbert comparaison comptabilité considérable consommation CONSULS coûte crois dépenses du ministère dépenses secrètes différence dispendieux diverses Document officiel doit duc de Choiseul duits dustrie époques établir existences sociales farcies finances Forbonnais frais gouvernement guerre Idem idem quatre idem quatre idem intérêts j'ai l'acquit l'administration l'année l'augmentation l'auteur du mém l'entretien l'état l'industrie légations livres Louis XIV marc d'argent ment mesure ministère des affaires monument moyens noble rapporteur nuelle objet OBSERVATIONS pense pensions perdrix période présent prince principe produits progression des dépenses rapport règne de Louis rence Report résultats résulte riode série service extérieur seulement somme totale système tableaux tion toises traité d'Utrecht traité de Westphalie travail trésor trouve vail valeur actuelle valeur d'aujourd'hui vénales Versailles ΙΟ
Popular passages
Page 56 - Je mets dix sous en bougie; il y en a six à la livre, qui coûte une livre dix sous et qui dure trois jours. Je mets deux livres pour le bois. Cependant, vous n'en brûlerez que trois mois de l'année, et il ne faut que deux feux. Je mets une livre dix sous pour le fruit ; le sucre ne coûte qu'onze sous la livre, et il n'en faut qu'un quarteron pour une compote.
Page 125 - Majesté cu u fail établir encore plusieurs autres en divers endroits du royaume ; mais comme ces dernières ne sont plus du ressort des...
Page 56 - Je mets une livre dix sous pour le fruit ; le sucre ne coûte que onze sous la livre ; et il n'en faut qu'un quarteron pour une compote. Je mets deux pièces de rôti. On en épargne une quand Monsieur ou Madame soupe ou dîne en ville ; mais aussi j'ai oublié une volaille bouillie, pour le potage.
Page 127 - CHAPITRE XVI. Pensions des gens de Lettres. L'estime singulière que Sa Majesté a toujours faite des belles-lettres , et des personnes qui , par une longue étude et un travail assidu, se sont rendues célèbres dans les sciences, a porté Sa Majesté à animer ceux qui se trouvent nés avec d'heureuses dispositions par l'espérance des pensions attachées au seul mérite. Ces pensions ne se paient plus sur le fonds des bâtimens depuis l'année 1690.
Page 123 - Cette maison , destinée pour la retraite des soldats devenus invalides au service de Sa Majesté , est d'une étendue extraordinaire et d'une régularité parfaite. Sa situation est très-belle, dans une plaine en face du Cours...
Page 123 - ... deux nefs très-spacieuses , dont l'une qui a son entrée du côté de la maison est destinée pour ceux qui y habitent . et l'autre qui a son entrée par un portail magnifique du côté de la campagne est destinée pour le public.
Page 129 - Saint-Louis, et 3oo livres qui sont mises entre les mains du trésorier de ladite académie, pour les fournitures de bois et bougies et transcriptions de cahiers. Ces 7,000 livres ne se prennent plus sur le fonds des bâtimens, non plus que lesdites pensions des gens de lettres.
Page 56 - Si vous aviez du vin en cave, il ne vous coûterait pas trois sous : j'en mets six pour votre valet de chambre, et vingt pour vous deux, qui n'en buvez pas pour trois. « Je mets une livre de Chandelle par jour, quoiqu'il n'en faille qu'une demi-livre. Je mets...
Page 129 - Académie d'Architecture de Paris. Cette académie ne coûte au Roi qu'environ trois mille cinq cent livres par an, tant pour les appointemens d'un professeur qui y tient les conférences publiques que pour les assistances des architectes qui s'y assemblent en particulier, et pour les menues nécessités. Académie de Peinture et Sculpture de Paris. Cette académie coûte au Roi, en premier lieu, six mille livres qui se mettent tous les ans entre les mains de son trésorier.
Page 125 - Dix-sept cent dix mille trois cent trente-deux livres quatre sous six deniers. On a excédé dans ce chapitre les bornes qu'on s'était prescrites, à cause de la dépense considérable qui a été faite aux Invalides en l'année 1691.